des hauts, des bas, des hauts, des bas, des hauts, des bas, des hauts, des bas ....
Tout le monde ici connait ça.
Rien n'avance
Modérateur : Sans Prétention
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Thunder
- Cornes d'Or
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- Localisation : La 4ème dimension...
Re: Rien n'avance
Pour vivre heureux, vivons cachés (Voltaire)....Il est prudent de choisir ses relations, quitte à en avoir peu !
Re: Rien n'avance
Ce sont des phases que j'ai connu aussi, à plus ou moins forte dose... Mais après le ciel gris, la tempête, le ciel bleu et une mer calme... Faut juste être 2 à le vouloir... 
Choisir ou subir !!!
Re: Rien n'avance
C'est vraiment curieux de lire ce qu'on aurait pu ecrire soi-meme.
L'intensité des émotions finit par être usante et tu vas pas tarder à peter un cable. Une sorte de bascule maniaco-depressive. Un temps, je me défonce pour trouver des trucs pour nous sortir de la, suivi d'un temps de depression, de pleurs et d'apathie. Et toujours cette impression d'être la seule a essayer de sauver le couple. Mais à force d'occuper le temps et l'espace frenetiquement, quelle place laisses-tu pour qu'il y apporte sa pierre?
J'ai basculé comme ca frenetiquement et unilateralement jusqu'à ce qu'on commence à voir le psy de couple. Elle a su lui faire entendre ce que je n'arrivais pas ou bien peut-etre qu'a me taire et la laisser relayer mes propos, j'ai pu l'observer, lui, et voir qu'il recevait ces propos. En tout cas, je dois reconnaitre qu'il y a du changement, qu'il commence à agir et à parler... un peu.
Je pars quelque jours, dimanche (bormes-les-mimosas si ca te dit, ca serait rigolo qu'on y forme un club
) pour essayer de me calmer et pour la première fois, ce soir, il m'a dit son inquietude que je ne revienne pas (il a même pleuré), et on a pu un peu parler de CA et ... il m'a même, en quelque sorte, proposé de lui rendre la pareille pour comprendre son point de vue et rééquilibrer nos comptes, tout en me disant qu'il avait peur de cette prise de risque où il n'était pas sur que je lui revienne et aussi en me mettant en garde contre les souffrances de "l'autre coté de la barriere".
Mais bon, là, je parle de moi, c'est pas bien. Ce que je voulais dire, c'est que t'es en sur-régime et que c'est pas tenable. Ni pour toi, ni pour lui. Les angoisses, c'est le passage obligé mais, ya rien qu'ils puissent faire pour les calmer.
Hier, il est arrivé 20mn plus tard que d'habitude alors qu'il m'avait dit qu'il m'emmenait au restau. J'ai angoissé. Résultat, il est arrivé avec un énorme bouquet de fleur, et pas un sous cellophane, un bouquet fabriqué fleur par fleur avec des oiseaux de paradis et tout et tout. Je me suis pris la tête 20mn pour rien mais c'est ma croix. Si je l'avais appelé, inquiete, j'aurais tout gaché, sa joie et la mienne.
Mon medecin (ex cocu puis cocufieur et finalement séparé avec beaucoup de regrets des 2 cotés) m'a dit aujourd'hui qu'on ne change pas les gens. Impossible de les y forcer. On ne peut que se changer soi-même. Mais, parfois, si on se change soi, alors on provoque un changement de l'autre. A méditer...
Voila, pleins de bons conseils que je vais m'empresser de ne pas respecter
L'intensité des émotions finit par être usante et tu vas pas tarder à peter un cable. Une sorte de bascule maniaco-depressive. Un temps, je me défonce pour trouver des trucs pour nous sortir de la, suivi d'un temps de depression, de pleurs et d'apathie. Et toujours cette impression d'être la seule a essayer de sauver le couple. Mais à force d'occuper le temps et l'espace frenetiquement, quelle place laisses-tu pour qu'il y apporte sa pierre?
J'ai basculé comme ca frenetiquement et unilateralement jusqu'à ce qu'on commence à voir le psy de couple. Elle a su lui faire entendre ce que je n'arrivais pas ou bien peut-etre qu'a me taire et la laisser relayer mes propos, j'ai pu l'observer, lui, et voir qu'il recevait ces propos. En tout cas, je dois reconnaitre qu'il y a du changement, qu'il commence à agir et à parler... un peu.
Je pars quelque jours, dimanche (bormes-les-mimosas si ca te dit, ca serait rigolo qu'on y forme un club
) pour essayer de me calmer et pour la première fois, ce soir, il m'a dit son inquietude que je ne revienne pas (il a même pleuré), et on a pu un peu parler de CA et ... il m'a même, en quelque sorte, proposé de lui rendre la pareille pour comprendre son point de vue et rééquilibrer nos comptes, tout en me disant qu'il avait peur de cette prise de risque où il n'était pas sur que je lui revienne et aussi en me mettant en garde contre les souffrances de "l'autre coté de la barriere".Mais bon, là, je parle de moi, c'est pas bien. Ce que je voulais dire, c'est que t'es en sur-régime et que c'est pas tenable. Ni pour toi, ni pour lui. Les angoisses, c'est le passage obligé mais, ya rien qu'ils puissent faire pour les calmer.
Hier, il est arrivé 20mn plus tard que d'habitude alors qu'il m'avait dit qu'il m'emmenait au restau. J'ai angoissé. Résultat, il est arrivé avec un énorme bouquet de fleur, et pas un sous cellophane, un bouquet fabriqué fleur par fleur avec des oiseaux de paradis et tout et tout. Je me suis pris la tête 20mn pour rien mais c'est ma croix. Si je l'avais appelé, inquiete, j'aurais tout gaché, sa joie et la mienne.
Mon medecin (ex cocu puis cocufieur et finalement séparé avec beaucoup de regrets des 2 cotés) m'a dit aujourd'hui qu'on ne change pas les gens. Impossible de les y forcer. On ne peut que se changer soi-même. Mais, parfois, si on se change soi, alors on provoque un changement de l'autre. A méditer...
Voila, pleins de bons conseils que je vais m'empresser de ne pas respecter
Re: Rien n'avance
Oh ce serait super ...j'adore Bormes mais difficile de poser des jours de congé en ce moment. Une autre fois peut être .aie a écrit :e pars quelque jours, dimanche (bormes-les-mimosas si ca te dit, ca serait rigolo qu'on y forme un club
.. pourquoi pas !
Bonnes vacances alors.