Hello
tous sauf moi a écrit : ↑sam. 12 nov. 2022 16:30
Tu as raison, monsieur Help a certainement conscience de la personne à laquelle il tient le plus, et comme beaucoup d'hommes, il sait qu'il avait une maitresse uniquement pour se dégorger le poireau, pas pour vivre un deuxième amour.
Ce n'est pas qu'une question d'intérêt, mais juste de réels sentiments pour madame Help.
Aucune certitude.
Juste une
hypothèse très solide compte tenu du contexte et du comportement post découverte de monsieur Help.
Il n'a pas les caractéristiques du narcisse dangereux d'après le récit de notre amie.
Pour autant, je maintiens : amour ET intérêt. S'il y avait de l'amour pur, on ne serait pas en train d'en parler ici.
tous sauf moi a écrit : ↑sam. 12 nov. 2022 16:30
Il est clair que la douleur s'atténue avec le temps, comme tu le dis, et heureusement, mais quand elle refait surface, elle pique quand même.
C'est tout à fait vrai.
Pendant quelques temps. Puis ça se transforme souvent en autre chose au bout de deux ans en moyenne (c'est-à-dire un peu moins pour certains et un peu plus pour d'autres). Les douleurs fantômes néanmoins existent. Après, tout dépend de ce qu'on en fait.
tous sauf moi a écrit : ↑sam. 12 nov. 2022 16:30
Tu reviens sur la notion de savoir ou pas savoir.
Je ne crois pas que tu m'aies compris, alors je retente mes explications.
Dans mon cas personnel, mon épouse m'a trompé avec un homme qu'elle a rencontré lors de vendanges à plusieurs centaines de km de notre domicile.
Il y avait donc peu de risques que je l'apprenne par un voisin, une connaissance, en croisant son amant, etc, etc : elle aurait tout à fait pu rentrer de ces vendanges et ne strictement RIEN me dire, ni à l'époque, ni cette année.
C'est cela que j'aurais voulu quand je disais que je préférais ne rien savoir.
J'ai bien compris ton hypothèse de départ.
Alors je te le répète : tu pars du principe que rien n'est jamais découvert (le crime parfait quoi). Dans ce cas, y a pas de site "SOS cocu" non plus.
Pour la petite histoire, le crime parfait appartient à la catégorie des manipulateurs narcissiques. Parce qu'ils n'ont pas de conscience. Ta femme en a une. Il y avait donc une forme de fatalité derrière le concept de découverte
Je te dis juste moi que,
une fois découvert,
malgré la souffrance engendrée,
la plupart préfère savoir.
Et en mettant les gens face à un dilemme impossible (car il faudrait deux réalités alternatives), le choix majoritaire est de
savoir quand même. Ce que tu contestais en disant : "les gens voudraient TOUS ne
pas savoir". Cette affirmation est
statistiquement fausse.
Les gens préfèrent "savoir quand même" certainement pour se sentir libres de faire un vrai choix : rester ou partir avec une personne qu'on aime mais qu'on sait ne pas être tout à fait honnête. Faire aussi le choix de se soigner pour éviter pire plus tard (on trompe rarement sur un coup de tête). Et pas rester avec quelqu'un qu'on ne connaît finalement pas.
C'est effectivement un peu dérangeant d'aimer follement quelqu'un qui n'est pas ce qu'il ou elle prétend être : ça veut dire aimer une illusion, un fake (précision : dans le cas de couples échangistes, libres, poly, lorsque c'est consenti, y a pas de fake dans ce sens là. L'amour est donc construit sur du vrai).
Bref : peu de gens aiment vivre dans Matrix. A 80 ou 90% on choisit la pillule rouge.
Mais j'ai effectivement rencontré des gens sur le site qui préféraient aimer de manière illusoire. Il y en avait deux ou trois. Sur des centaines.
Et ta recherche
obsessionnelle de la "vérité" sur cette soirée d'il y a 20 ans est d'autant plus étonnante que tu es partisan de ne rien savoir
.
A partir de là, j'ai la sensation que c'est toi qui ne me comprends pas. Mais bon tant pis. Ce n'est pas important comme sujet au fond.
Juste une remarque au passage : j'ai parlé à une CF qui commettait le "crime parfait" contre son mari. J'ai été pris de vertige. C'est effrayant. Tu ne le sais pas, mais je te le dis : effrayant.
tous sauf moi a écrit : ↑sam. 12 nov. 2022 16:30
Tu comprends ? Si elle ne m'avait jamais rien dit, je n'aurais jamais été malheureux : comment être malheureux de quelque chose qu'on ne sait pas.
Permets moi de te redire à nouveau que cela est doublement faux.
Faux pour toi d'abord car lorsque tu racontes ta vie de couple, on n'a pas cette sensation de félicité que tu répètes à tue-tête : quelque chose n'allait franchement pas dans votre relation. Tu n'étais sans doute pas malheureux mais, désolé, ça ne transpirait pas le bonheur (avec une tonne de non-dits et une relation qu'on pourrait qualifier de triste). Je n'ai pas vu non plus l'épanouissement de Madame TSM (sans cet électrochoc, l'aurais tu mieux considérée actuellement ?).
Tu n'aurais peut-être pas autant souffert en ne sachant rien, mais je ne te percevais pas comme étant quelqu'un d'équilibré dans ta vie amoureuse. Et son savoir secret lui donnait un avantage sur toi dans le couple, comme une arme à sortir en cas de coup dur... Ou l'inverse : peut-être sa culpabilité intérieure t'a permis de la traiter très moyennement sans qu'elle ne rechigne ! Ce qui est de toutes les façons malsain.
Maintenant, je te vois effectivement énormément souffrir mais peut-être que ça devait arriver (pour moi c'est inéluctable dans votre cas) vu l'endroit d'où vous partez niveau affectif (on va dire qu'on ne connait pas les réalités "alternatives" mais franchement, encore une fois, "statistiquement", il y a toutes les conditions d'un dérapage du binôme : image de soi écornée de part et d'autre, premier couple, hésitation, abandon, tromperie... Mais j'ai envie de dire : "ça aurait pu être pire"
).
Et c'est faux aussi pour la plupart des gens du site parce qu'une tromperie, en majorité (pas toujours, mais en majorité) demande une énergie colossale en matière de mensonge au trompeur et cela a des incidences sur le couple, qu'on le veuille on non. Ne serait ce que par maladresses répétées même si le mensonge tend à s'agglutiner à la nature du cf.
Exemples :
Le bon petit repas préparé par le cocu et le CF (cocufieur) mange à peine parce que... il a déjà mangé avec sa maîtresse. Le cocu se pose des questions. Le cf répond que c'est à cause du boulot. Ca fait une mauvaise ambiance dans le couple pour quelque chose qui n'est pas vrai. Il y a parfois des disputes : l'un pense que c'est pour une histoire de bureau, l'autre arrière pense que c'est pour un truc sentimental mal digéré...
Refus de sexe parce que... déjà fait à l’hôtel d'à côté. Le cocu manque de sexe mais ne va pas voir ailleurs, le cf ne manque de rien. Donc le cocu souffre.
J'ai en tête deux témoignages : madame demandait aux légitimes de mettre la capote (ce que n'aimait pas forcément les maris en question) mais s'envoyait en l'air sans avec l'amant... Je sais, c'est pas le même sujet
Mais ça con verge dans le même sens : on donne moins à la maison mais on donne plus dehors.
Les vacances que le cf ne veut pas prendre à telle date "à cause du boulot" alors que c'est à cause de l'amant : incompréhension.
Manque des sous pour se faire plaisir à deux, avec la famille : bah... Les restos et l'hôtel avec le sandwich ça coûte alors bon... On peut pas tout faire...
Le cf, à force de mentir, se mélange les pinceaux. Lorsque le cocu pose des questions sérieuses, le cf accuse le cocu d'être "agressif et paranoïaque". Super ambiance. J'ai en tête le témoignage d'une cocue que son mari accusait d'avoir un problème psychologique alors qu'elle avait bien perçu les cheveux, le parfum, le gel douche inhabituel, les achats pour des objets destinés à une autre...
J'ai aussi en tête le témoignage d'un cornu qui faisait des efforts monstre pour sa femme au niveau physique mais que la dite dame méprisait (avec ses amants- mail intercepté) car elle en avait d'autres sous le coude. Ou le mari volage qui fait des remarques intempestives sur la manière dont sa dame ne fait pas ci ou ça au lit ("remarque intempestive" est un euphémisme) pendant qu'il culbutait des péripathétiques payées au prix fort de ses demandes démesurées.
Pour te parler de moi (c'est pas bien utile mais bon. Tu sembles plus sensible aux vécus qu'aux faits
) : j'aime les enfants. Toujours voulu en avoir.
Lorsque ma femme adorée est tombée enceinte, bizarre, j'en voulais pas vraiment
. Culpabilité
, relation compliquée avec madame
. Incompréhensible. Je l'aimais tant. Mon rêve se réalisait. Et elle était imbuvable
. Franchement horrible. Cassante. Même juste avant de tomber enceinte.
Les hormones ?
Non : l'amant lui avait demandé d'avorter. Et elle ne se comportait pas comme une mère en fait. Juste comme un ado paumée prise dans ses dilemmes de vie d'à côté et j'avais absolument aucune idée de ce qui se tramait dans mon dos. Tout ce que je faisais tombait donc à côté de la plaque : probablement qu'il aurait même fallu faire l'inverse de ce que j'ai fait à l'époque en toute bonne foi.
Et tu dis : "lorsqu'on sait pas ça ne fait pas de mal".
Ben je te dis :
ça dépend. J'aurais su, j'aurais eu moins mal. Parce que bien évidemment, sans avoir l'autre partie de l'histoire, la partie cachée "qui fait pas mal", tout était bien entendu de ma faute (et je pouvais pas me défendre, ni prendre une décision éclairée). J'étais un mari immonde à l'entendre (en même temps quand tu rames mais que tu sais pas dans quelle direction ramer, c'est fatal : tu fais que des conneries. Surtout quand il y a une alternative dans la tête de l'autre : ça diminue drastiquement la valeur de tes efforts). On sentait le dégoût dans ses yeux. Sa mère ne se retenait pas pour faire de charmantes remarques sur tout ce que je faisais. Penses-tu : si sa fille a un amant (elle savait moi pas) c'est que férocement son conjoint est un gros con !
Quand ma femme a annoncé à sa mère qu'on attendait un enfant, belle moman a eu une réaction étrange que je n'ai compris que 15 ans plus tard. Ça fait pas mal tu dis...
A mes yeux, madame SP était la perfection. Elle devait donc avoir raison sur toute la ligne : je devais être une sacrée merde pour la rendre si malheureuse...
Bah en fait... Comment dire... On aurait été moins malheureux si j'avais compris ses messages "codés" qui n'ont fait sens que des années plus tard, une fois que j'avais toutes les clés.
Cet abruti de sandwich quetard dégueulasse et multirécidiviste avait pris une place énorme dans ma vie et je ne le savais même pas. Le couple a été massacré par ce "fantôme" qui était par ailleurs un "proche". Tu dis "à droite" pour ton couple, lui disait "à gauche" (contre ton couple), et madame était perdue. Tiraillée entre deux possibles, déversant le négatif à la maison et profitant de l'absence de contraintes de l'autre côté. Aucune incidence donc
Je me demande même s'il s'est pas passé des trucs dans mon lit. Moi, je sais rien : je me couche dedans, normal. Elle, elle se souvenait probablement de ses parties de jambes en l'air avant d'éteindre la lampe de chevet, avant de me regarder m'endormir avec dégoût. Les hormones j'ai pensé. Les hormones. Ça fait mal.
C'est fou ce que les gens se permettent quand "tu sais pas"...
Une fois madame SP m'a dit : "Oh je suis juste allée me faire plaisir ailleurs". Je lui ai répondu :"ah nan, c'est pas ça qui s'est passé. Tu es certes allée te faire plaisir ailleurs mais tu m'as insulté, offensé, dégueulé dessus, privé de sexe, d'attention, accusé de tous tes maux et du ratage de ta vie." Là on est plus proche du réel.
Le coup dans le dos avec le couple heureux et le cocu qui sait pas ça arrive, sourire aux lèvres ... C'est dans les sitcoms devant lesquels tu te bidonnes. IRL, c'est pas du tout ça qui arrive. La situation que tu voudrais est une comédie TSM, pas la réalité. La réalité est bien plus complexe et brutale qu'un vaudeville de mauvais goût malheureusement.
Comment peux-tu dire que quand on ne sait pas on ne souffre pas ? On ne souffre pas de "ça", mais on peut souffrir des conséquences de "ça" (comme ton couple toutes ces années peut-être). Au cocu la merde, à l'autre tous les avantages sans les emmerdes. Psychologiquement, on n'est pas des personnages de série comique. Et nos actes impactent notre entourage.
J'accepterais sans peine ta théorie mais bien d'autres témoignages vont dans ce sens : ce qui est donné dehors est souvent retranché dedans (en attention, en temps, en investissement affectif, en argent et ça déglingue le duo amoureux). Sauf pour les grands manipulateurs ou comme dans ton cas, éventuellement, un coup d'un soir. Si c'est un coup d'un soir.
Si je ne m'abuse, madame TSM t'a sorti ses derniers "atouts" un soir de dispute avec toi... C'est humain. Et il ne pouvait en être autrement.
Donc, non, ça se sait pas mais ça dégueule sur ta vie
la plupart du temps ou ça fermente jusqu'à ce que ça te pète à la tronche.
Bon après t'as pas lu les adultèmes. Je te conseille de regarder ce que disent les vrais gens sur leur situation, ça te donnera un éclairage autre.
Si ça se trouve d'ailleurs,
votre malaise vient précisément de là.
Pendant 20 ans. Il aurait peut-être mieux valu un autre scénario...
tous sauf moi a écrit : ↑sam. 12 nov. 2022 16:30
Certes, cela aurait été plus difficile à cacher pour elle si elle m'avait trompé avec un collègue, notre voisin, un ami, un membre de la famille même ou qui que ce soit géographiquement proche de notre lieu de vie, mais dans mon cas, ce n'était pas le cas.
Tu peux déménager où tu veux, elle transporte sa mémoire avec elle.
On n'est pas des machines. Y a pas de bouton on / off pour ça. Il n'y a que des stratégies.
tous sauf moi a écrit : ↑sam. 12 nov. 2022 16:30
As-tu saisi la nuance SP ?
Parfaitement.
En espérant la réciproque.
tous sauf moi a écrit : ↑sam. 12 nov. 2022 16:30
Effectivement, ta question est pertinente : qu'est-ce qui nous pousse, lorsqu'on a été trompé, à rester avec notre conjoint ?
La réponse pour moi est évidente : nos réels sentiments d'amour pour ce conjoint.
C'était pas ça la question.
La question était plutôt : pourquoi s'attacher à quelqu'un qui nous fait autant de mal ?
Certes il y a l'amour, mais l'opération est parfois coûteuse.
Dans certains cas même, elle n'est pas souhaitable car destructrice et il vaut mieux partir.
Tu fais partie avec Help et d'autres rares exemples de cas pour lesquels la reconstruction est un scénario plausible. C'est une vraie chance
tous sauf moi a écrit : ↑sam. 12 nov. 2022 16:30
Je l'ai dit encore à ma femme ce matin : depuis tout ce temps, je pourrais être comme de nombreux hommes qui n'aiment plus leur femme et la délaissent au bout de 10,20 ou 30 ans, mais non, je l'aime encore, et ça complique les choses, puisque je ne veux pas la perdre...ce serait plus simple s'il n'y avait plus rien, je la quitterais sans état d'âme.
Après, le contexte aussi joue, les enfants, les biens matériels, perdre tout un confort pour se retrouver à nouveau seul et célibataire dans l'inconnu...il y a plus de 20 ans, nous n'avions rien construit elle et moi, j'aurais pu la quitter sans rien perdre d'autre qu'elle, cela aurait été plus simple, et je lui ai d'ailleurs déjà dit que je lui en voulais pour cela, car si elle avait été honnête à l'époque, nous ne serions certainement plus ensemble, j'aurais pu refaire ma vie avec une femme sans connaître l'infidélité.
Conclusion : tu aurais voulu savoir
tous sauf moi a écrit : ↑sam. 12 nov. 2022 16:30
Sur la notion de circuit de récompense, mon épouse en est l'exemple parlant : son amant d'alors lui a apporté tout ce que je ne lui apportais apparemment plus à ce moment là, et il en a profité, et elle est tombée dans le panneau, oubliant qu'il y avait de fortes chances que quelques années plus tard, cet amant idyllique aurait peut-être eu les mêmes défauts que j'avais alors ! Sur le moment, il était meilleur que moi. C'est dur à accepter. C'est aussi l'avantage de la nouveauté.
C'est tout à fait ça.
Tu as compris le truc.
tous sauf moi a écrit : ↑sam. 12 nov. 2022 16:30
Tu évoques ton cas : qu'as-tu eu le plus de mal à digérer...que ton épouse ait couché avec un amant sans sentiments (avec l'image du sexe de son amant dans celui de ta femme, et le reste, et leurs corps nus) ou que ton épouse soit tombée amoureuse d'un autre amant mais sans coucher avec lui ?
Précision : elle a couché avec les deux.
Ayant connu les cas alternatifs, je ne peux que parler de mon ressenti qui n'est pas une règle, juste un témoignage isolé. Et je dirais peu importe : une tromperie est une tromperie.
J'ai remarqué que lorsqu'il y avait de l'amour, les gens auraient préféré un truc sexuel et lorsque le truc était sexuel, ils auraient préféré l'infidélité pour cause d'amour.
Pareil si le sandwich est beau, on se sent comme une merde ("je suis trop moche") et quand le sandwich est laid, on se sent comme une merde quand même ("je me sens rabaissé"). Ça s'appelle la rationalisation.
Moi j'ai tout eu, je ne peux donc pas préférer un truc ou l'autre pour échapper aux faits.
Ce que je peux dire c'est que l'infidélité pour cause d'amour a été plus difficile à stopper. Il y a des sentiments, la (fausse) crise de la quarantaine glisse par là aussi : tu passes pour le connard qui empêche sa femme de vivre une merveilleuse histoire qui pourrait changer positivement sa vie en quelque chose de magnifique avec un bel étalon de passage. Et limite tu te demandes s'il vaudrait pas mieux qu'elle parte parce que t'es une grosse daube de partenaire...
La réalité est plus basique : très souvent, l'amant se carapate quand ça devient trop sérieux et lorsque l'union avec le sandwich aboutit malgré tout, statistiquement, le cf revient à la maison la queue basse quelques temps après parce que "finalement il/elle n'était pas à la hauteur". Donc ça, ouais, ça me fait marrer.
L'infidélité sexuelle peut aussi être très compliquée à stopper chez les structurels. Mais là, il faut soigner. Ou changer de régime matrimonial.
Après bien sûr, toute règle a ses exception.
La question du coup c'est de savoir si on est dans la règle ou dans l'exception. Et en la matière, les signes, eux, ne trompent pas.
tous sauf moi a écrit : ↑sam. 12 nov. 2022 16:30
Comment ta femme pouvait-elle te demander de trouver cela drôle ?
Par habitude.
tous sauf moi a écrit : ↑sam. 12 nov. 2022 16:30
T'a-t-elle proposé d'en rire dès le départ ou quelques années après la révélation ?
Pendant.
tous sauf moi a écrit : ↑sam. 12 nov. 2022 16:30
Dans un sens, elle n'a pas tort : en rire, c'est désacraliser l'acte, mais c'est fort de café de la part de la personne qui trompe de demander cela à la personne trompée.
Voilà. Depuis, j'ai beaucoup ri. Notamment avec d'illustres cornus du site autour d'une bonne bière.
Mais pas avec elle. Non. Ça n'arrivera pas.
tous sauf moi a écrit : ↑sam. 12 nov. 2022 16:30
En rirait-elle si c'était toi qui l'avait trompée ? Lui as-tu demandé ?
J'en sais rien.
Sinon, je fais partie de ceux qui sont passés de l'autre côté du miroir un temps. Comme dit sur le site.
A voir. Je pense pas que ça la ferait rire. Mais moi non plus ça me fait pas rire. Je rigole pas avec les sentiments.