La voix permettrait de trahir les infidèles
Posté : jeu. 2 nov. 2017 15:13
Des scientifiques américains nous donnent un moyen de démasquer l'adultère d'un partenaire sans qu'il ne s'en aperçoive. Cela passe par la voix.
La voix reflète nos humeurs et notre personnalité. Elle laisse aussi transparaître la propension à l’infidélité, assure une étude de l'Albright College et de la Penn State University aux États-Unis. Le texte publié dans «Evolutionary Psychology» est intitulé «Votre voix d'infidèle vous trahira: ou comment détecter une trahison grâce à la voix». Les chercheurs ont enregistré la voix d’un panel de 152 sujets (50% de femmes, 50% d’hommes), dont la moitié ont reconnu avoir déjà trompé leur partenaire. Ils devaient simplement compter de 1 à 10. Les enregistrements ont ensuite été soumis à d’autres personnes dont le travail consistait à trier le bon grain de l'ivraie.
Aucune donnée objective ne leur a été fournie. Il fallait se contenter de l’impression laissée par la voix. Les résultats ont majoritairement concordé. Comment cela est-il possible? Les auteurs de la recherche émettent plusieurs hypothèses. Le ton serait une composante essentielle, les pauses entre chaque mot également. L'articulation le permettrait aussi.
Ainsi, un homme peu éloquent mais qui, en même temps, utilise une phonétique bizarre serait le coupable idéal. Comme cette étude a été menée en anglais, reste à savoir si la langue dans laquelle on s’exprime joue un rôle pour repérer les moins fidèles.
Source
La voix reflète nos humeurs et notre personnalité. Elle laisse aussi transparaître la propension à l’infidélité, assure une étude de l'Albright College et de la Penn State University aux États-Unis. Le texte publié dans «Evolutionary Psychology» est intitulé «Votre voix d'infidèle vous trahira: ou comment détecter une trahison grâce à la voix». Les chercheurs ont enregistré la voix d’un panel de 152 sujets (50% de femmes, 50% d’hommes), dont la moitié ont reconnu avoir déjà trompé leur partenaire. Ils devaient simplement compter de 1 à 10. Les enregistrements ont ensuite été soumis à d’autres personnes dont le travail consistait à trier le bon grain de l'ivraie.
Aucune donnée objective ne leur a été fournie. Il fallait se contenter de l’impression laissée par la voix. Les résultats ont majoritairement concordé. Comment cela est-il possible? Les auteurs de la recherche émettent plusieurs hypothèses. Le ton serait une composante essentielle, les pauses entre chaque mot également. L'articulation le permettrait aussi.
Ainsi, un homme peu éloquent mais qui, en même temps, utilise une phonétique bizarre serait le coupable idéal. Comme cette étude a été menée en anglais, reste à savoir si la langue dans laquelle on s’exprime joue un rôle pour repérer les moins fidèles.
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