Salut tous !
Le temps a passé depuis la découverte. J'étais plein d'espoir... mais aussi plein d'envie... de me foutre en l'air. Le cocufiage, quoiqu'on en dise, même tendant à se "normaliser", est et restera un traumatisme difficile à surmonter.
D'où le fait de permettre à chacun d'avoir accès à toutes les informations possibles. Et le site y contribue.
Lorsqu'on traverse la tempête, on ne se retrouve pas toujours à prendre les bonnes décisions.
D'abord parce qu'on est perdus (l'inverse serait inquiétant... Du moins quand on est soi-même au clair avec le principe de fidélité) mais aussi parce qu'on nous donne souvent des recettes qui ne fonctionnent pas pour notre cas personnel... Sachant que notre cas personnel n'est pas isolé... Ou se situe alors le problème ?
Parfois, on nous oriente vers des miracles qui n'aident pas à rétablir l'équilibre. Qui ne sauvent pas. Voire qui enfoncent encore plus la tête sous l'eau.
Ainsi donc selon la doxa actuelle (qui retarde de plus de 50 ans, voire de deux siècles comme le précise Didier Pleux, spécialiste des questions liées aux personnalités égocentriques), c'est au cocu de pardonner, de chercher SA faute, d'admettre SES manquements, d'interroger SES blessures d'enfance (pourquoi ça fait mal d'avoir des cornes, hein ? puisque tout le monde le fait, c'est que vous devez avoir un problème à avoir si mal...), etc, partant du principe que tout se vaut en ce bas monde...
Parmi le top des voies de garage con jugaux :
1) Ce qui ne se sait pas ne fait pas mal
Encore faut-il que ce qui ne se sait pas ne se sache vraiment pas...
Pour Yves Dalpé, spécialiste des questions liées à la vie du couple, "
Même si la personne trompée ne connaît pas l'existence de l'infidélité, elle en ressent les effets négatifs. Il arrive même qu'elle se sente confusément coupable et qu'elle s'interroge sur ses propres agissements, car elle ne comprend pas le malaise qui circule dans la maison." (
Source: http://dalpecote.com/linfidelite-nest-pas-banale.htm)
Ce constat est d'ailleurs en grande partie vérifié par les témoignages des internautes de SOS :
http://www.soscocu.org/viewtopic.php?f=40&t=3730#p58017
Les connaissances qui "savent", les amis qui partagent le secret, les parents qui se taisent, contribuent indirectement au naufrage du duo qui, de toutes manières, avec une tierce non intégrée (chez les libertins, les polyamoureux, les tierces font partie du jeu), pèsent, à leur façon d'éviter des "questions qui fâchent", de rire bêtement à certaines remarques ou de baisser les yeux devant des comportements que l'autre ne peut saisir, car hors de sa portée, négativement dans la balance de l'authenticité des deux "officiels".
Et sans authenticité, point de projet amoureux. Demandez aux échangistes, ils en ont beaucoup à faire apprendre...
Quand la question du "secret" est soulevée, il ne s'agit pas de jouer la carte naïve et étouffante de la transparence totale, mais bien de délimiter ce qui contribue de façon nocive à la bonne entente de deux personnes censées s'aimer.
On le sait, toute infidélité peut déboucher sur une récidive (voire le sujet dans "Adultèmes") puisque "c'est la première fois qui est la plus difficile" (tapez dans Google, un régal). Et cette récidive invite le couple à reproduire des schémes qu'il faudrait sans doute casser. Le "secret" empêche la remise en cause du système.
Ce qui ne se sait pas fait mal en ce sens que justement, avec des lacunes dans l'histoire des amoureux légitimes, il est impossible à celui qui voudrait agir pour le couple de fournir des efforts allant dans le bon sens.
Pas question ici de remettre en cause le concept d'amour multiple ou de polygamie (certains pensent que cela est bon pour eux, bah, chacun ses convictions...) mais d'équilibrer le niveau de connaissance de soi et de l'autre pour un développement harmonieux des deux membres de la construction affective. Mais comment faire avec une tierce dans les fantasmes, pris comme un ailleurs compensatoire évitant le nécessaire conflit propice au changement et à la maturation.
Yves Dalpé, toujours lui, parle de "compétition injuste" : dans le match truqué de la réalité contre le rêve, celui qui en sort perdant par chaos "à tous les coups" est bien le cocu : "
plutôt que de résoudre les insatisfactions maritales et d'amour on compare alors son objet d'amour sans défaut avec sa conjointe ou son conjoint". Allez vous défendre avec votre bouquet de fleurs devant un tel bazooka !
C'est ainsi que se développe le syndrome "Cétafote" (
http://www.soscocu.org/viewtopic.php?f=40&t=3733#p58347 ou
http://www.soscocu.org/viewtopic.php?f=40&t=3727#p58003) qui a pour but d'évincer celui qui "galère" la plupart du temps pour maintenir le couple à flot.
Le plus atroce dans l'histoire, c'est que les "secrets" mènent à la dépression... Dépression qui sera ensuite le justificatif d'une désertion affective en cours. Et cela est pervers.
Un problème conjugal ne se résoud pas par la fuite. Et encore une fois, les sexualités moins "normatives" sont basées sur la confiance dans le partenaire et un contrat clair, ce n'est pas le cas des déviances reposant sur le "secret" qui, de toutes les façons, plombe le couple.
Les prêcheurs du "je planque ce que je fais" sont bizarrement les premiers à ne pouvoir supporter les éventuels errements de leur con joint. Sinon ils se planqueraient pas.
Ceux qui se définissent comme "libres" (ou libertaires), à l'inverse, ne font rien peser sur les épaules de celui "qui ne sait pas", puisque tout le monde sait. Pas tout. Mais suffisamment pour savoir avec qui on partage sa vie. Libre à lui d'adhérer ou pas.
Rien de tout cela dans le cocufiage... Le jeu de "cache-cache" détruit le lien.
Et lorsque, de plus, on apprend la "bonne nouvelle", il faut ensuite reconfigurer tout son monde : les proches, les silencieux qui savaient...
Deuxième blessure narcissique à surmonter. "Je ne suis pas digne de la vérité"...
A terme, "ce qui ne se sait pas" fait encore plus mal. Calcul irrationnel que celui de miser sur l'aveuglement du con joint (amoureux le plus souvent). Peu glorieux.
Pour cocufier en toute tranquillité il faut :
- Du temps disponible (qui est nécessairement soustrait à "l'autre" - pas de soustraction chez les poly, puisque "l'autre" en fait autant)
- Un investissement financier (hôtels, restaurants, inscription sur des sites payants... qui est nécessairement soustrait à la communauté)
- Un don de soi (affectif / sexuel / empreint d'admiration) dont le ou la légitime ne bénéficie pas : que de fois n'a-t-on pas entendu parler d'une ouverture sexuelle par exemple disqualifiant le partenaire officiel au bénéfice du ou des autres ?
Il n'y a pas de développement si peu harmonieux chez les personnalités sexuelles hors normes qui s'assument. Beaucoup d'entre eux ont un développement de leurs plaisirs respectifs avec un ou des partenaires multiples. Dans le cas du cocufiage, l'ardoise est payée par celui qui porte déjà les stigmates de la trahison.
- Un comportement cloisonné. Donald Winicott, psychiatre et psychanalyste eut développé en son temps le concept de "faux soi"...
Sans entrer dans des débats théoriques complexes, l'expression dit ce qu'elle dit. Et il remarquait que plus il y avait de distance entre son faux soi et son vrai soi, son soi authentique, plus il y avait de souffrance. "C'est un autre moi qui a niqué avec la secrétaire"... Schyzo, ça se soigne.
Et un schyzo dans le couple plombe le couple. Pas quelqu'un d'authentique (et puisque nous avons tous une face cachée... En rajouter une autre...) et cohérent avec son projet de vie.
En gros, encourager le "secret", revient à encourager les clivages de la psyché humaine. Étrange de constater que ce clivage, ce dédoublement, est justement ce qui permet aux pervers narcissiques de pratiquer leur forme très particulière d'amour... Attachant.
Bref encourager au cloisonnement, c'est miser sur le postulat farfelu que l'autre est un concept inerte qui ne voit rien, ne sent rien. Voire même qui n'existe pas.
Cette très courte vue ignore l'existence de l'inconscient, et de l'intelligence émotionnelle (ou l'instinct, cette reconfiguation rapide et arborescente du réel au vu d'indices pris dans les trames congruentes ou non de la vie quotidienne).
Considérer que le cocu ne "sait pas" et ne "saura jamais" est une double faute notionnelle grave. Une perspective qui se cantonne au nombril et au sexe de celui qui énonce cette approximative vérité.
Poser comme axiome que "l'autre" est un abruti dénué de sentiments et d'impressions, vide, ne fait pas honneur à l'image qu'ils ont du genre humain.
Et ne pas interroger les relations d'emprise issues de ces galipettes visant à travestir la vérité du couple, est un manquement. Passer à côté de relations même modérément perverses, quand on prêche le "secret" est irresponsable. Faut-il légitimer le double langage d'un manipulateur au prétexte que "ce qui ne se sait pas..." alors que justement... Faut-il retourner toute sa rage contre le journaliste qui a mis à jour l'affaire du Carlton dans laquelle a trempé un trompeur mondialement connu ?
Avec pareil raisonnement, pourquoi ne pas interdire les polices financières ? On aurait pas eu mal de ne pas savoir par exemple qu'un ministre chargé de rapatrier les deniers de l'évasion fiscale... S'était lui-même fiscalement exilé... Je dévie mais c'est pour dire l'absurde de la situation. Confondre la nécessité d'un jardin secret et le camouflage d'une vie double c'est mettre dans le même panier l'anneau sacré du mariage et le sperme de l'amant.
Avec toute la mesure qu'il faut: un one shot après une soirée très alcoolisée (qui n'arrive que peu au vu des témoignages sur le présent site) n'a pas la même valeur que des infidélités à répétition qui relève surtout de la pathologie (pas la pratique de la poly, mais la nécessité d'avoir un pilier stable pour baguenauder ailleurs, aboutissant à une prise d'otage amoureuse qui ne dit pas son nom). Et traiter le second cas avec les remèdes du premier seconde relève de l'irresponsabilité la plus totale.
- Des évitements, des cachoteries, des comportements inappropriés en certaines circonstances.
Qui causent une incompréhension complémentaire dans le dédale des relations à deux jamais vraiment vierges de complexité.
Avec toujours ce retour : "T'es parano". (
http://www.soscocu.org/viewtopic.php?f=40&t=3733#p58347)
Pour peu que le cocu se sente "inférieur", parce que dominé affectivement par son con joint (comme c'est souvent le cas), la relation d'emprise, particulièrement pathologique, peut alors émerger et donner naissance à une relation perverse sans que cela ne puisse être ni combattu, ni remis en cause car l'un possède les clés... Qu'il cache à l'autre.
Encourager le "secret", revient in fine à encourager les rapports de domination (creusant, par définition, l'inégalité entre les deux parties, avec avantage pour celui qui s'en va à la fontaine boire une autre eau pendant que le "restant", pétri de principes, obsolètes pour le coup, supporte le feu du désert conjugal qui assèche l'ego et détruit l'estime de soi).
Cela contribue-t-il à maintenir l'harmonie du couple ?
"Oui !", répondent les cocufieurs en choeur. Et rien que pour cela, puisque le mensonge règne en leur logis intérieur, en leur âme et inconscience de l'autre, il convient de ne pas les croire.
Ainsi donc, ce qui ne sait pas... se sait... un jour ou l'autre et, le temps que ce savoir soit rationalisé, apparaisse comme faisant partie de l'histoire du couple, ce qui ne sait pas se "sent" par des voies indirectes, une ambiance, quelque chose qui ne fonctionne pas et dont on n'identifie pas l'origine, annulant tout espoir de bonheur sur le long terme puisque les questions de fond sont évitées.
Elles sont là, au milieu du salon, et tout le monde fait un pas de côté sans que personne ne puisse réellement dire pourquoi. Jusqu'à creusement d'un sillon autour de l'objet invisible... Qui prend de plus en plus de place et qui s'érige parfois comme un totem familial en lieu et place d'amour véritable.
Prochain épisode sur les con seils : "il faut nier" (si j'ai le temps)
Edit:
J'aimerais vous parler un peu de moi si vous n'avez pas encore décroché.
10 ans.
C'est le temps que j'ai mis à comprendre. A apprendre et à m'apprendre...
10 ans c'est l'âge de mon petit bonhomme aujourd'hui . Un gamin souriant, plein de vie et extrêmement sage. Très bon élève, et possédant un humour incroyable.
Pendant 10 ans je m'étais dit que je méritais mes cornes si elles arrivaient... Pour quelle faute ?
J'aime les enfants. Non. J'adore les enfants. Ma femme, elle, a toujours préféré les chats. Les histoires de cul, les voyages et les chats.
Mais moi, n'étant pas contre l'une ou l'autre de ces options, j'aimais aussi les enfants.
A chaque petit bout de douceur qui se pointe quelque part, il me faut impérativement montrer ma tête d'abruti et faire des gouzis gouzis qui, bien souvent, font mouche...
Je ne sais pas, dans ces moments là, qui de l'adulte ou du bébé est le plus à plaindre: deux candeurs qui se rencontrent, c'est des éclats de rire gênants pour l'entourage. Et je finis souvent chaos.
Quand j'ai appris qu'elle était enceinte, la première fois, j'ai pensé qu'il fallait se débarrasser de l'opportun.
J'adore les enfants et elle, je l'aimais plus que tout. Plus que ma vie même.
Mais, de cet être qui allait arriver, je ne voulais pas. 10 ans à me demander pourquoi. Pourquoi j'ai pensé de manière si irrationnelle. Et quand je l'ai vu arriver, c'est avec bonheur et culpabilité. Un bonbon au goût amer. Amer de moi.
Dès la naissance, le petit portait les stigmates de l'abandon... Il manifestait d'étranges comportements, je veux dire, plus que la moyenne des bébés que je connais, de complexe d'abandon. Je m'en suis voulu. J'ai même pensé ne pas être digne de sa venue merveilleuse dans ma vie.
Il faut dire qu'à l'époque future maman avait un comportement de merde. Ne me soutenait pas dans mes déboires professionnels d'alors. Me regardait de haut, me méprisait comme rarement j'ai pu l'être dans ma vie. Rien n'allait. Les hormones je me suis dit.
Ça n'allait pas à un point que ma dame, ma princesse, mon ange, m'avait lâché un matin, assise au milieu de la cuisine, "j'ai envie d'aller voir ailleurs".
Les nausées me prenaient moi à cette époque alors que c'est elle qui portait en son sein tout l'objet de mon amour.
Je l'avais équilibrée pourtant, ma dame. Elle était boulimique avant moi et noyait ses échecs amoureux dans le lait pénétrant ses céréales au chocolat jamais assez nombreux pour lui faire oublier ses réflexes Don Juanistes.
En fait, c'est elle, celle dont le ventre allait faire naître notre future famille, qui n'en voulait pas. Son amant de l'époque lui avait demandé d'avorter aussi. Trois contre un... Y a mieux pour démarrer dans la vie petit bonhomme...
Mamie, en apprenant la nouvelle, avait décoché un sourire de chiotte, un rictus constipé qui fleurait bon la diarrhée, en comparaison de la liesse exaltée qui avait envahi toute la maisonnée côté SP.
C'est que mes parents, mes frères, ma soeur, vivaient cette nouvelle comme une joie, une occasion d'agrandir la famille et de sceller plus officiellement encore un amour amené à durer. Ce qui, aujourd'hui encore, me paraît logique.
Mes parents adoraient ma femme. Mamie Nova, elle, avait fait une moue des grands jours. Mon ego se délabrait encore: je n'étais donc pas assez bien pour sa fille. Malgré cette "bonne" nouvelle...
Ben en fait, mamie ne m'avait jamais considéré. Sûr.
Mais surtout, elle savait. Et son corps, son regard d'alors avait trahi le "secret". Elle ne comprenait pas les comportements de sa fille, volage et presque prête à fuir le gendre "pas à la hauteur" (merci amant, grâce à toi, je récupère encore ma fille. Puisqu'aucun homme ne sera jamais assez bien pour elle) mais qui se ligotait à nouveau par le truchement de cet être en devenir bizarrement devenu persona non grata.
Que cette malade à la personnalité imprécise ne sache quoi faire pour combler les trous de son destin... Passe encore. Mais qu'elle nous précipite notre progéniture et moi dans SES gouffres narcissiques... Je parle pour mamie Nova, et sa fille.
Quand nous avons rencontré notre premier thérapeute après que j'ai appris la seconde infidélité (qui pour moi était la première), le monsieur avait cru bon jouer la carte du secret justement puisque "ce qui ne se sait pas ne fait pas mal."
Bien sûr !
Depuis que je sais, j'ai une bien piètre image de ma femme, cela va sans dire, mais je me suis pardonné d'avoir pensé de travers toutes ces années durant et résolu, même un peu tard, comme dans Usual Suspect, l'énigme de mon malaise persistant dans ce couple fait de vernis. Ca pue le vernis. Et ça n'est pas consistant. En général, il faut quelque chose à vernir. Il n'y avait rien.
Mieux de savoir à qui j'avais vraiment à faire.
Ceci fait que tous les bons conseils de thérapeute 1 ont été inopérants.
Aujourd'hui, j'ai levé le voile sur les ambiguïtés de mamie, les errements péripathétiques de papi, compris cette angoisse de mort qui plane sur la tête du beau frère.
Toute la famille est à soigner. La mienne également. Mais je l'ai toujours su. C'est ce qui fait que j'ai pu mener ma barque, au moins au niveau professionnel, pour échapper aux courants déchaînés des choix subis et irrationnels.
De l'autre côté, le tapis faisait la taille d'un frigo triple porte tellement il y avait de crasse cachée. Le mythe familial. Premier mensonge auquel nous devrons aussi faire face pour nos enfants plus tard.
Le "secret" au travail, tel un éléphant invisible que tout le monde évite sans nommer, sans regarder, avait fait son oeuvre: loin de penser une seule seconde que ma femme était capable de "ça" (capable oui mais pas qu'elle en ferait autant des conneries), comme tout "c" qui se respecte, trop coupable de tout, trop coupable de moi et de " nous", je me suis moi-même crucifié sur l'autel de son ego.
Il lui était facile ensuite de pointer mes insuffisances dans le couple... Pour justifier ses hésitations conjugales et sa décision de normand amoureux, très caractéristiques des phobiques de l'engagement.
Aujourd'hui elle m'avoue être mieux que par le passé. Plus sûre d'elle et plus stable.
Le "secret" de mamie a été partiellement levé de son côté. Bizarre. Savoir semble aider tout le monde à mieux comprendre ses réactions...
Les mythes familiaux sont puissants. Les bites cachées plus encore. On y glisse dessus alors qu'elles sont sous le tapis.