Eugène, j'ignorai que tu lisais Lord Byron! c'est l? ma formation scolaire (enfin la littérature Britannique et Nord-Américaine, pas Lord Byron en particulier lol)!
Sébastien, je souhaiterai, si tu me le permets, revenir sur deux points :
- Eugène a raison, c'est ardu, mais tu dois désormais essayer d'avancer. Sois fort et va de l'avant, avec ou sans elle, mais la vie doit continuer!
- contrairement ? ce que tu affirmes, il me semble qu'? la longue, on pardonne mais on oublie pas. J'ai lu pas mal de témoignages ici et l? qui recoupent mon vécu : 8 ans après, je n'ai plus de haine en moi, mais certaines images me hantent encore.
allez, tiens-nous au jus!
G
c'est mon tour
Modérateur : Sans Prétention
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Siprèsquelechapeautomba
- Cornu
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l'écho...
C’est horrible comme je me reconnais dans ton malheur…de te lire suffit ? me nouer le ventre…
Gros a bien raison, on peut pardonner mais pas oublier…1 an et demi après, il m’arrive d’y penser, en pleine nuit ou ? l’occasion d’un film, d’une parole que j’interprète et j’y reviens de suite : ensuite c’est l’angoisse, la mauvaise humeur ou les cris faciles, voire l’explosion de colère pour un motif futile.
Oui c’est dur de faire descendre sa femme d’un piédestal, la mienne aussi je l’idéalisais ; ensemble nous avons fait nos études, travaillé, puis 4 enfants, la tendresse, beaucoup de temps ensemble, le sexe un feu d’artifices…puis la découverte, par hasard, après coup, l’histoire déj? finie…les mensonges d’abord, puis la vérité rognée, enfin par la suite comment la croire ? ensuite deux petites rechutes, un an après, juste des mails ? découvertes car je surveille tout, ce qu’elle tape sur son PC, les appels portables, les numéros de téléphones du fixe…alors qu’elle avait juré, juré ! que c’était une folie qu’elle n’avait pas comprise, que c’était bien fini, elle me parle de crise d’adolescence sur le tard (? 37 ans ?), qu’elle a découvert ( ?) combien je tenais ? elle ( ?), que je suis trop parfait pour elle, qu’elle voulait voir d’autres personnes (le milieu du cocufieur est différent)…comment faire confiance ?
Après un mensonge, un repentir oui…et ensuite, encore deux autres mensonges ? et pourtant elle est si gentille, si câline, si amoureuse…
Quand au rival, c’est un alcoolique bedonnant, connu comme coureur de jupons, ancien toxico, exactement le genre de type qu’elle méprise normalement…c’est tellement incompréhensible…
Moi aussi je suis dans le doute, je l’aime c’est certain, mais maintenant je la vois comme une femme ordinaire, comme les autres, et pas plus. Tant que ça marche, tant qu’elle me reste fidèle (elle ne sort plus du tout, fini ses sorties entre copines ( ?), car elle a compris que ces sorties me rendaient fou de jalousie), surtout tant qu’elle m’aime…mais je n’y crois plus, je profite de mes enfants, et d’elle, mais je m’attends ? la rupture, MAINTENANT j’ai compris que même si on aime sa femme, qu’on la couvre de tendresse, d’attentions, elle peut « partir » du jour au lendemain sans raison, tomber amoureux du premier guignol venu…
D’ailleurs, même si elle parlait en mal de ce guignol, elle m’a dit que c’était un déchirement pour elle, car c’était la fin d’une « histoire », ce qui montre bien qu’elle en était amoureuse…et moi qui ait fait tous les bijoutiers de la ville pour lui trouver une belle bague, qui lui faisait l’amour tendrement tous les soirs (massage ? l’huile, caresses bien appuyées avant le coït) pendant qu’elle avait une « histoire » avec ce sous-homme ! sous homme car moi aussi j’ai eu des propositions, mais jamais je n’y ai cédées, trop malheureux de faire du mal ? ma femme…
Pardonner oui, oublier, jamais.
ET ensuite, jamais comme avant, toujours ce couperet, savoir qu’on peut se séparer, alors qu’avant je n’avais JAMAIS songé ? une rupture possible…et en 2008 nos 20 ans de vie commune…un bien bel anniversaire tiens…
Alors que te conseiller ? avec un nouveau-né…Si tu crois pouvoir lui pardonner, qu’elle te semble fiable ? présent, ? toi de voir…mais il faut dépasser ta colère, sinon elle va te bouffer…
Gros a bien raison, on peut pardonner mais pas oublier…1 an et demi après, il m’arrive d’y penser, en pleine nuit ou ? l’occasion d’un film, d’une parole que j’interprète et j’y reviens de suite : ensuite c’est l’angoisse, la mauvaise humeur ou les cris faciles, voire l’explosion de colère pour un motif futile.
Oui c’est dur de faire descendre sa femme d’un piédestal, la mienne aussi je l’idéalisais ; ensemble nous avons fait nos études, travaillé, puis 4 enfants, la tendresse, beaucoup de temps ensemble, le sexe un feu d’artifices…puis la découverte, par hasard, après coup, l’histoire déj? finie…les mensonges d’abord, puis la vérité rognée, enfin par la suite comment la croire ? ensuite deux petites rechutes, un an après, juste des mails ? découvertes car je surveille tout, ce qu’elle tape sur son PC, les appels portables, les numéros de téléphones du fixe…alors qu’elle avait juré, juré ! que c’était une folie qu’elle n’avait pas comprise, que c’était bien fini, elle me parle de crise d’adolescence sur le tard (? 37 ans ?), qu’elle a découvert ( ?) combien je tenais ? elle ( ?), que je suis trop parfait pour elle, qu’elle voulait voir d’autres personnes (le milieu du cocufieur est différent)…comment faire confiance ?
Après un mensonge, un repentir oui…et ensuite, encore deux autres mensonges ? et pourtant elle est si gentille, si câline, si amoureuse…
Quand au rival, c’est un alcoolique bedonnant, connu comme coureur de jupons, ancien toxico, exactement le genre de type qu’elle méprise normalement…c’est tellement incompréhensible…
Moi aussi je suis dans le doute, je l’aime c’est certain, mais maintenant je la vois comme une femme ordinaire, comme les autres, et pas plus. Tant que ça marche, tant qu’elle me reste fidèle (elle ne sort plus du tout, fini ses sorties entre copines ( ?), car elle a compris que ces sorties me rendaient fou de jalousie), surtout tant qu’elle m’aime…mais je n’y crois plus, je profite de mes enfants, et d’elle, mais je m’attends ? la rupture, MAINTENANT j’ai compris que même si on aime sa femme, qu’on la couvre de tendresse, d’attentions, elle peut « partir » du jour au lendemain sans raison, tomber amoureux du premier guignol venu…
D’ailleurs, même si elle parlait en mal de ce guignol, elle m’a dit que c’était un déchirement pour elle, car c’était la fin d’une « histoire », ce qui montre bien qu’elle en était amoureuse…et moi qui ait fait tous les bijoutiers de la ville pour lui trouver une belle bague, qui lui faisait l’amour tendrement tous les soirs (massage ? l’huile, caresses bien appuyées avant le coït) pendant qu’elle avait une « histoire » avec ce sous-homme ! sous homme car moi aussi j’ai eu des propositions, mais jamais je n’y ai cédées, trop malheureux de faire du mal ? ma femme…
Pardonner oui, oublier, jamais.
ET ensuite, jamais comme avant, toujours ce couperet, savoir qu’on peut se séparer, alors qu’avant je n’avais JAMAIS songé ? une rupture possible…et en 2008 nos 20 ans de vie commune…un bien bel anniversaire tiens…
Alors que te conseiller ? avec un nouveau-né…Si tu crois pouvoir lui pardonner, qu’elle te semble fiable ? présent, ? toi de voir…mais il faut dépasser ta colère, sinon elle va te bouffer…
je sais faire autre chose que des cocus, GrosGros a écrit :Eugène, j'ignorai que tu lisais Lord Byron! c'est l? ma formation scolaire (enfin la littérature Britannique et Nord-Américaine, pas Lord Byron en particulier lol)!
Notre mother est du sud des états unis, chaque été nous allions avec mon frêre et ma soeur 2 mois chez nos grands parents
Elle nous a plongé dans la littérature américaine depuis notre enfance, elle nous lisait Mark Twain en VO pour nous endormir, William Faulkner, Erskine Caldwell et d'autres sont venus enrichir notre culture quelques années plus tard. j'ai fini mes etudes aux USA ou j'ai étudié Byron comme je presume qu'ils doivent étudier Beaudelaire, Rostand, Beaumarchais ou d'autres en France
( Putain je te raconte ma vie la
)Those who talk behind my back, my ass contemplates