Victime et complice en même temps
Posté : mar. 21 juin 2011 01:10
Je crois que le titre est assez explicite pour vous donner une petite idée.
D'abord il faut vous expliquer que j'étais (et je suis encore d'ailleurs) un homme qui ne plait pas vraiment aux femmes. Je n'ai rien d'un Apollon. Le bon pote, oui, mais le petit copain, non. J'ai passé mon adolescence à rêver de simplement échanger un petit bisou du bout des lèvres. Finalement, la vingtaine bien commencée, je décide de prendre vraiment "les restes" (je sais, c'est méchant). Vous voyez la petite grosse d'1m50 sur 1m50, les dents vraiment pas humaines (ni même tout simplement blanches) et le comportement d'une rappeuse disant "putain" comme si c'était plus facile que de manger un tic tac. C'est avec cela que j'ai fait mes armes. J'en ai connu deux trois du même genre entre deux longues traversées du désert.
Puis un soir, un forum quelconque, je la croise. Tout de suite, on s'entend bien. On discute sur le forum, puis aussi en MP. Les adresses MSN s'échangent. Nos numéros de gsm aussi. Et vient ensuite la rencontre. Les baisers tombent comme il pleuvait en Bretagne en plein hiver. Notre relations se construit petit à petit malgré notre différence d'âge et notre distance (une cinquantaine de km, ce n'est rien en voiture, mais au quotidien et à pied, c'est tout sauf pratique). Surtout qu'elle, cours le jour et moi cours du soir. Mais on tient.
Il faut dire que moi, c'est une sorte de "cadeau de dieu". Et que de son coté, c'est une courageuse. Elle travail dure, elle aide sa mère à la maison. Et quand il lui a fallut un petit travail après les cours pour avoir un petit pécule, elle a travaillée. Sa mère s'entendant très bien (ils sont amis pour ainsi dire) avec le gérant d'une magasin de chaussures et elle a réussit à lui obtenir un petit boulot là bas. Et malgré ce petit boulot, elle a réussit à ne pas faire chuter sa moyenne (bien qu'elle fait juste un peu de rangement et d’accueil, mais elle a quand même du mérite).
Il arrivait parfois que j'arrive chez ses parents avant son retour, donc j'attendais chez eux, son retour. C'était le gérant qui la reconduisait. Je n'ai pas fait attention, trouvant cela normal. Sauf qu'un soir, il faisait un temps de cochon. J'ai bien cru que l'auto allait s'envoler avec moi dedans. Préférant rester un peu dans l'auto dans l'espoir que cela se calme, je vois une voiture se garer pas loin du terrain qui sert de parking aux gens de la ruelle derrière la rue de ma copine. L'auto s'arrête mais laisse le moteur tourner quand je vois des mouvements à l'intérieur. Je me suis dis par réflexe "merde, on va me prendre pour un pervers qui matte", donc je m'enfonce le plus possible sur mon siège. Mais curieux, j'essaie de voir qui c'est. Et j'ai découvert un homme qu'une quarantaine d'années avec une jeune femme, ayant des longs cheveux noirs, comme ceux de ma copine ... Ce qui est normal que la jeune femme ai les mêmes cheveux que ma copine vu que c'était ... ma copine.
Je crois que si un train devait foncé sur moi à toute vitesse, ou un T-ex, j'aurai réagis de la même façon que quand je l'ai vu se faire embrasser par le gars, la voir se faire caresser les seins à travers son pull ... J'ai perdu toute force, mes jambes se sont mises a trembler. Mon coeur battait la cinquième symphonie. Je suis resté je ne sais dire combien de temps, là, sur le cul (je sais que j'étais dans une voiture mais quand même, j'étais écroulé). Voyant l'auto partir avant de recevoir deux trois minutes après un sms d'elle, me disant qu'elle avait finie, qu'elle était rentrée chez elle et qu'elle m'attendait. Mais je ne bougeais plus. J'étais comme figé dans l'espace et le temps. C'est un appel d'elle qui m'a fait bouger et j'ai démarré la voiture et je suis parti. Mon monde venait de s'écrouler.
Bien plutard, j'ai enfin décrocher mon gsm et on a eu une violente dispute, elle était en larme et moi aussi. Elle disait que ce n'était rien, qu'elle s'était emportée et qu'elle m'aimait. Trop fou d'elle, je suis revenu à la vitesse du son.
On passe plusieurs semaines à en discuter. Je voulais savoir pourquoi, quand, comment, où. Elle fuyait les questions mais finalement, petit à petit, j'apprenais. J'ai compris pourquoi elle avait craquée sur moi, j'étais le genre protecteur, doux et gentil, celui qui prend soin d'elle. Tout l'inverse du gérant, qui est le stéréotype du dragueur frimeur. Plus grand, plus musclé, ayant sa propre affaire, il n'en a pas fallut beaucoup pour faire tourner la tête à ma copine. Elle était perdue et me disait qu'elle n'aurai pas crue en arriver là, qu'une envie purement physique l'a poussée. Elle ne m'accuse de rien, ne me reproche rien, c'est juste que cela venait d'elle, elle voulait connaitre la "baise" pour parler vulgairement, avoir un petit vécu et tout. Elle pleurt et pleurt. Elle en veut aux contextes.
Trop bon, trop con, j'ai pardonné ... et accepté qu'elle continue une fois ou deux afin d'avoir une idée et de définitivement zapper le gars et ses envies de savoir si l'herbe est plus verte ailleurs.
Finalement, la "dernière fois" est devenue une dernière semaine. La dernière semaine, deux. Des semaines et des mois. Actuellement, je suis son complice pour la conduire chez lui certains soirs. On raconte à ses parents et proches qu'on va faire un tour, manger un bout, voir un film. Alors qu'en faite, je la dépose, fait un tour et reviens la chercher quand elle me sonne. J'ai pris un plaisir malsain à la savoir prise par quelqu'un d'autre. Nos rapports sont d'ailleurs aussi devenus particuliers. Cela se limite plus, en ce qui concerne mon plaisir, qu'à me faire masturber par elle pendant qu'elle me dit des choses cochonnes à l'oreille, souvent ce qu'ils ont fait.
Et comme mon pseudo, mes sentiments sont lunatiques. Un jour, je pique une crise quand elle ne répond pas assez vite à un sms. Le suivant je lui demande même si elle veut aller chez lui. Mes envies sont comme une montagne russe.
Si j'ai écris ce pavet, c'est pour savoir ce que vous en pensez et si il y a des gens dans une situation comme la mienne (cocu mais complice).
Merci et désolé du pavet.
D'abord il faut vous expliquer que j'étais (et je suis encore d'ailleurs) un homme qui ne plait pas vraiment aux femmes. Je n'ai rien d'un Apollon. Le bon pote, oui, mais le petit copain, non. J'ai passé mon adolescence à rêver de simplement échanger un petit bisou du bout des lèvres. Finalement, la vingtaine bien commencée, je décide de prendre vraiment "les restes" (je sais, c'est méchant). Vous voyez la petite grosse d'1m50 sur 1m50, les dents vraiment pas humaines (ni même tout simplement blanches) et le comportement d'une rappeuse disant "putain" comme si c'était plus facile que de manger un tic tac. C'est avec cela que j'ai fait mes armes. J'en ai connu deux trois du même genre entre deux longues traversées du désert.
Puis un soir, un forum quelconque, je la croise. Tout de suite, on s'entend bien. On discute sur le forum, puis aussi en MP. Les adresses MSN s'échangent. Nos numéros de gsm aussi. Et vient ensuite la rencontre. Les baisers tombent comme il pleuvait en Bretagne en plein hiver. Notre relations se construit petit à petit malgré notre différence d'âge et notre distance (une cinquantaine de km, ce n'est rien en voiture, mais au quotidien et à pied, c'est tout sauf pratique). Surtout qu'elle, cours le jour et moi cours du soir. Mais on tient.
Il faut dire que moi, c'est une sorte de "cadeau de dieu". Et que de son coté, c'est une courageuse. Elle travail dure, elle aide sa mère à la maison. Et quand il lui a fallut un petit travail après les cours pour avoir un petit pécule, elle a travaillée. Sa mère s'entendant très bien (ils sont amis pour ainsi dire) avec le gérant d'une magasin de chaussures et elle a réussit à lui obtenir un petit boulot là bas. Et malgré ce petit boulot, elle a réussit à ne pas faire chuter sa moyenne (bien qu'elle fait juste un peu de rangement et d’accueil, mais elle a quand même du mérite).
Il arrivait parfois que j'arrive chez ses parents avant son retour, donc j'attendais chez eux, son retour. C'était le gérant qui la reconduisait. Je n'ai pas fait attention, trouvant cela normal. Sauf qu'un soir, il faisait un temps de cochon. J'ai bien cru que l'auto allait s'envoler avec moi dedans. Préférant rester un peu dans l'auto dans l'espoir que cela se calme, je vois une voiture se garer pas loin du terrain qui sert de parking aux gens de la ruelle derrière la rue de ma copine. L'auto s'arrête mais laisse le moteur tourner quand je vois des mouvements à l'intérieur. Je me suis dis par réflexe "merde, on va me prendre pour un pervers qui matte", donc je m'enfonce le plus possible sur mon siège. Mais curieux, j'essaie de voir qui c'est. Et j'ai découvert un homme qu'une quarantaine d'années avec une jeune femme, ayant des longs cheveux noirs, comme ceux de ma copine ... Ce qui est normal que la jeune femme ai les mêmes cheveux que ma copine vu que c'était ... ma copine.
Je crois que si un train devait foncé sur moi à toute vitesse, ou un T-ex, j'aurai réagis de la même façon que quand je l'ai vu se faire embrasser par le gars, la voir se faire caresser les seins à travers son pull ... J'ai perdu toute force, mes jambes se sont mises a trembler. Mon coeur battait la cinquième symphonie. Je suis resté je ne sais dire combien de temps, là, sur le cul (je sais que j'étais dans une voiture mais quand même, j'étais écroulé). Voyant l'auto partir avant de recevoir deux trois minutes après un sms d'elle, me disant qu'elle avait finie, qu'elle était rentrée chez elle et qu'elle m'attendait. Mais je ne bougeais plus. J'étais comme figé dans l'espace et le temps. C'est un appel d'elle qui m'a fait bouger et j'ai démarré la voiture et je suis parti. Mon monde venait de s'écrouler.
Bien plutard, j'ai enfin décrocher mon gsm et on a eu une violente dispute, elle était en larme et moi aussi. Elle disait que ce n'était rien, qu'elle s'était emportée et qu'elle m'aimait. Trop fou d'elle, je suis revenu à la vitesse du son.
On passe plusieurs semaines à en discuter. Je voulais savoir pourquoi, quand, comment, où. Elle fuyait les questions mais finalement, petit à petit, j'apprenais. J'ai compris pourquoi elle avait craquée sur moi, j'étais le genre protecteur, doux et gentil, celui qui prend soin d'elle. Tout l'inverse du gérant, qui est le stéréotype du dragueur frimeur. Plus grand, plus musclé, ayant sa propre affaire, il n'en a pas fallut beaucoup pour faire tourner la tête à ma copine. Elle était perdue et me disait qu'elle n'aurai pas crue en arriver là, qu'une envie purement physique l'a poussée. Elle ne m'accuse de rien, ne me reproche rien, c'est juste que cela venait d'elle, elle voulait connaitre la "baise" pour parler vulgairement, avoir un petit vécu et tout. Elle pleurt et pleurt. Elle en veut aux contextes.
Trop bon, trop con, j'ai pardonné ... et accepté qu'elle continue une fois ou deux afin d'avoir une idée et de définitivement zapper le gars et ses envies de savoir si l'herbe est plus verte ailleurs.
Finalement, la "dernière fois" est devenue une dernière semaine. La dernière semaine, deux. Des semaines et des mois. Actuellement, je suis son complice pour la conduire chez lui certains soirs. On raconte à ses parents et proches qu'on va faire un tour, manger un bout, voir un film. Alors qu'en faite, je la dépose, fait un tour et reviens la chercher quand elle me sonne. J'ai pris un plaisir malsain à la savoir prise par quelqu'un d'autre. Nos rapports sont d'ailleurs aussi devenus particuliers. Cela se limite plus, en ce qui concerne mon plaisir, qu'à me faire masturber par elle pendant qu'elle me dit des choses cochonnes à l'oreille, souvent ce qu'ils ont fait.
Et comme mon pseudo, mes sentiments sont lunatiques. Un jour, je pique une crise quand elle ne répond pas assez vite à un sms. Le suivant je lui demande même si elle veut aller chez lui. Mes envies sont comme une montagne russe.
Si j'ai écris ce pavet, c'est pour savoir ce que vous en pensez et si il y a des gens dans une situation comme la mienne (cocu mais complice).
Merci et désolé du pavet.