par Saturnales001 » mer. 28 août 2019 19:46
Je n'ai jamais dit que la femme n'était pas dotée de raison...mais que leur éducation, le rôle sociétal et l'hypergamie sous-jacente la rendait nettement mois pesante que les "rifliflis" dans le ventre. Les superstructures ont toujours raison de la raison. Si l'infidélité sexuelle féminine était moins présente autrefois ça n'est PAS parce que les femmes étaient plus morales, ou plus "dominées par un carcan religieux" comme je peux entendre ca et la, mais juste parce que le jugement social porté sur la chose était beaucoup plus difficile à assumer. tromper au 19e hors milieu bourgeois pour une femme, c'est être répudiée à vie. De la même façon qu'un homme qui faisait des gosses et quittait leur mère était rapidement conchié par l'ensemble de la société. La fidélité a historiquement simplement disparu en même temps que la notion de "batard". Cette inégalité de traitement entre hommes et femmes (homme devant servitude et femmes devant fidélité) semble rude, mais prend source dans des comportement sexuels immémoriaux.
Une femme, c'est 9 mois de grossesse, une plus grande vulnérabilité , une période de fertilité plus courte.
L'homme en ce sens est "sacrifiable" car les hommes en capacité de procréer sont plus nombreux. Leur rôle était de protéger les femmes, en échange de quoi ils imposaient la fidélité de leur femme parce que le test de paternité n'existait pas (seule facon de t'assurer de la transmission de tes gènes)
Le boulot des femmes c'était de s'assurer très vite de choisir un partenaire en capacité de transmettre de bon gènes, et en capacité de faire survivre les gamins. La logique évolutionniste, elle, voulait que les hommes "arrosent" le plus grand nombre possible de femmes TANT qu'ils étaient en capacité d’apporter satiété à leur(s) foyer(s).
De cette petite histoire anthropologique tu peux aisément tirer les origines du romantisme (amour masculin encourageant le sacrifice et limitant sa propension à jeter une femme dès qu'elle n'est plus fertile) Il sert essentiellement les intérrêts de la monogamie , parade infaillible au chaos sexuel si tu veux constituer des civilisations stables (il y a des tonnes de choses a dire sur ca, mais c'est pas le lieu)
Tout ceci n'a changé fonctionnellement que depuis 60 ans. Est ce mal ? je n'en sais rien, mais je remarque que les comportement restent prédictibles malgré les changements sociétaux. Les femmes restent bien plus résilientes que les hommes sur les domaines psychologiques (70% des suicides sont des hommes et plus de 60% d'entre eux rompent suite à une rupture). Une femme "faible" psychologiquement c'est naturellement peu encouragé par la nature. Les hommes n'avaient pas à être forts sur ces points. Les femmes restent hypergames (quoi de plus naturel - n’importe qui s'en apercevra mais en cas de doute il suffit de fouiller les statistiques de l’Insee à la nuptialité) La capacité d'attachement des femmes (en couple hein, pas avec leurs enfants) est nettement moins importante que chez l'homme. Tout ceci est "encapsulé" si tu lis à travers les lignes de ce petit conte anthropologique.
Donc, bien sûr, non les hommes n'aiment pas de la même facon que les femmes. Et c'est souligné par a peu près tous les courants psy. Il y a dans l'amour masculin toujours du sacrifice et de la possessivité ( d'ou le fait qu'ils aiment les chieuses -dit on, une chieuse par définition te pousse au sacrifice et tu ne la "possède" pas), il y a toujours dans l'amour féminin de l'admiration (perception d'une valeur supérieure -cf hypergamie).
Ca ne veut pas dire qu'on ne peut pas admirer sa femme,ou même qu'une femme ne peut pas se sacrifier temporairement pour son mari, mais c'est pas l'essentiel. Je connais plein de mecs qui jugent très sévèrement leur femmes mais qui sont fous d'elle. c'est plus compliqué de trouver une femme qui méprise son mari et reste avec longtemps.
cCa me rappelle le bouquin d'une thérapeute du couple que j'ai partagé sur ce forum,n qui décrivait le pattern de l'infidélité féminine ainsi :
Perte de l'admiration > Perte du respect > Perte du désir > Tromperie > Rupture.
Pour l'homme c'était
Peur de la castration par chute de la valeur sexuelle de sa femme ou perte de dominance > perte du désir > Infidélité > Regain du désir -ouais, pleins de mec trompent et ne quittent jamais.
Ce qui est intéressent dans ces patterns, c'est que dans un cas, la problématique sexuelle engage les valeurs fondamentales : amour = respect= désir = valeurs, tandis que dans l'autre, la crise sexuelle ne quitte jamais le domaine du sexuel. Une infidélité d'homme c'est surtout un drame qui se joue entre lui et sa quequette.
Les femmes jugent souvent à tord leur cocufieur en s'imaginant qu'ils ont menti sur leur engagement, qu'ils ne les aimaient plus ou pas assez, La vérité c'est juste qu'ils ont été très cons et méprisables pour leur incapacité à tenir le rôle (t'as pas misé sur le bon cheval ma fille). Les hommes jugent bien mal leur femme infidèle quand ils s'imaginent mériter leur respect. ils ne comprennent pas pourquoi en plus d'êtres cocus, ils sont tenus responsables. Les femmes infideles accablent ensuite leur mari de tous les maux ! S'ils ont été trompés, c'est qu'il n'y avait ni respect ni amour depuis bien longtemps. Et dans une relation homme/femme, l'homme ne "mérite" rien. Inconsciemment les femmes pensent que tout est du)
La raison, la morale, pourtant bien partagés tant chez les hommes que chez les femmes n'ont n'ont pas grand chose à voir la dedans,
Donc non les hommes ne cherchent pas -essentiellement- à désirer et à être désirés. leur amour ne réside pas la dedans ni même leur leitmotiv
Pour la question, merci de ta réponse. Chez un homme , le pourquoi assez assez naturel, mais a moins de vivre dans une niche culturelle (société traditionnelle, communauté religieuse) je me demandais ce qui pouvait alimenter un désir de couple "a vie" chez une femme encore en age de procréer.
Je n'ai jamais dit que la femme n'était pas dotée de raison...mais que leur éducation, le rôle sociétal et l'hypergamie sous-jacente la rendait nettement mois pesante que les "rifliflis" dans le ventre. Les superstructures ont toujours raison de la raison. Si l'infidélité sexuelle féminine était moins présente autrefois ça n'est PAS parce que les femmes étaient plus morales, ou plus "dominées par un carcan religieux" comme je peux entendre ca et la, mais juste parce que le jugement social porté sur la chose était beaucoup plus difficile à assumer. tromper au 19e hors milieu bourgeois pour une femme, c'est être répudiée à vie. De la même façon qu'un homme qui faisait des gosses et quittait leur mère était rapidement conchié par l'ensemble de la société. La fidélité a historiquement simplement disparu en même temps que la notion de "batard". Cette inégalité de traitement entre hommes et femmes (homme devant servitude et femmes devant fidélité) semble rude, mais prend source dans des comportement sexuels immémoriaux.
Une femme, c'est 9 mois de grossesse, une plus grande vulnérabilité , une période de fertilité plus courte.
L'homme en ce sens est "sacrifiable" car les hommes en capacité de procréer sont plus nombreux. Leur rôle était de protéger les femmes, en échange de quoi ils imposaient la fidélité de leur femme parce que le test de paternité n'existait pas (seule facon de t'assurer de la transmission de tes gènes)
Le boulot des femmes c'était de s'assurer très vite de choisir un partenaire en capacité de transmettre de bon gènes, et en capacité de faire survivre les gamins. La logique évolutionniste, elle, voulait que les hommes "arrosent" le plus grand nombre possible de femmes TANT qu'ils étaient en capacité d’apporter satiété à leur(s) foyer(s).
De cette petite histoire anthropologique tu peux aisément tirer les origines du romantisme (amour masculin encourageant le sacrifice et limitant sa propension à jeter une femme dès qu'elle n'est plus fertile) Il sert essentiellement les intérrêts de la monogamie , parade infaillible au chaos sexuel si tu veux constituer des civilisations stables (il y a des tonnes de choses a dire sur ca, mais c'est pas le lieu)
Tout ceci n'a changé fonctionnellement que depuis 60 ans. Est ce mal ? je n'en sais rien, mais je remarque que les comportement restent prédictibles malgré les changements sociétaux. Les femmes restent bien plus résilientes que les hommes sur les domaines psychologiques (70% des suicides sont des hommes et plus de 60% d'entre eux rompent suite à une rupture). Une femme "faible" psychologiquement c'est naturellement peu encouragé par la nature. Les hommes n'avaient pas à être forts sur ces points. Les femmes restent hypergames (quoi de plus naturel - n’importe qui s'en apercevra mais en cas de doute il suffit de fouiller les statistiques de l’Insee à la nuptialité) La capacité d'attachement des femmes (en couple hein, pas avec leurs enfants) est nettement moins importante que chez l'homme. Tout ceci est "encapsulé" si tu lis à travers les lignes de ce petit conte anthropologique.
Donc, bien sûr, non les hommes n'aiment pas de la même facon que les femmes. Et c'est souligné par a peu près tous les courants psy. Il y a dans l'amour masculin toujours du sacrifice et de la possessivité ( d'ou le fait qu'ils aiment les chieuses -dit on, une chieuse par définition te pousse au sacrifice et tu ne la "possède" pas), il y a toujours dans l'amour féminin de l'admiration (perception d'une valeur supérieure -cf hypergamie).
Ca ne veut pas dire qu'on ne peut pas admirer sa femme,ou même qu'une femme ne peut pas se sacrifier temporairement pour son mari, mais c'est pas l'essentiel. Je connais plein de mecs qui jugent très sévèrement leur femmes mais qui sont fous d'elle. c'est plus compliqué de trouver une femme qui méprise son mari et reste avec longtemps.
cCa me rappelle le bouquin d'une thérapeute du couple que j'ai partagé sur ce forum,n qui décrivait le pattern de l'infidélité féminine ainsi :
Perte de l'admiration > Perte du respect > Perte du désir > Tromperie > Rupture.
Pour l'homme c'était
Peur de la castration par chute de la valeur sexuelle de sa femme ou perte de dominance > perte du désir > Infidélité > Regain du désir -ouais, pleins de mec trompent et ne quittent jamais.
Ce qui est intéressent dans ces patterns, c'est que dans un cas, la problématique sexuelle engage les valeurs fondamentales : amour = respect= désir = valeurs, tandis que dans l'autre, la crise sexuelle ne quitte jamais le domaine du sexuel. Une infidélité d'homme c'est surtout un drame qui se joue entre lui et sa quequette.
Les femmes jugent souvent à tord leur cocufieur en s'imaginant qu'ils ont menti sur leur engagement, qu'ils ne les aimaient plus ou pas assez, La vérité c'est juste qu'ils ont été très cons et méprisables pour leur incapacité à tenir le rôle (t'as pas misé sur le bon cheval ma fille). Les hommes jugent bien mal leur femme infidèle quand ils s'imaginent mériter leur respect. ils ne comprennent pas pourquoi en plus d'êtres cocus, ils sont tenus responsables. Les femmes infideles accablent ensuite leur mari de tous les maux ! S'ils ont été trompés, c'est qu'il n'y avait ni respect ni amour depuis bien longtemps. Et dans une relation homme/femme, l'homme ne "mérite" rien. Inconsciemment les femmes pensent que tout est du)
La raison, la morale, pourtant bien partagés tant chez les hommes que chez les femmes n'ont n'ont pas grand chose à voir la dedans,
Donc non les hommes ne cherchent pas -essentiellement- à désirer et à être désirés. leur amour ne réside pas la dedans ni même leur leitmotiv
Pour la question, merci de ta réponse. Chez un homme , le pourquoi assez assez naturel, mais a moins de vivre dans une niche culturelle (société traditionnelle, communauté religieuse) je me demandais ce qui pouvait alimenter un désir de couple "a vie" chez une femme encore en age de procréer.