Je pense que l'infidélité nait du décalage entre la nature humaine, et l'organisation de notre société, qui veut qu'une cellule familiale constante et stable perdure et assure une certaine paix sociale. D'où l'invention de la monogamie et du mariage.
C'est illusoire de penser que l'infidélité est l'exception et la monogamie la règle.
C'est le contraire qui est vrai selon moi, et les statistiques sont à mon sens un euphémisme comparé à la situation réelle.
Nous avons choisi cette organisation sociale contre-nature, à nous de l'assumer maintenant.
Je préférerais, pour ma part, que les enfants soient au contraire éduqués dans l'art de s'affirmer, de nouer des relations humaines saines et équilibrées, et qu'on leur inculque qu'il vaut mieux admettre que nos histoires d'amour sont passagères, mais qu'elle doivent être commencées ET terminées dans le respect et la dignité, plutôt que de leur faire promettre un amour éternel impossible et devoir mentir lorsqu'ils se rendent compte qu'il n'y arrivent pas.
Pas de promesses = pas de tromperie = pas de cocu
Et bien sûr pour cela il faudrait que la protection des conjoints d'un point de vue matériel soit beaucoup mieux légiférée.
Voilà pour ma contribution, qui manquait sans doute un peu de poésie
Je pense que l'infidélité nait du décalage entre la nature humaine, et l'organisation de notre société, qui veut qu'une cellule familiale constante et stable perdure et assure une certaine paix sociale. D'où l'invention de la monogamie et du mariage.
C'est illusoire de penser que l'infidélité est l'exception et la monogamie la règle.
C'est le contraire qui est vrai selon moi, et les statistiques sont à mon sens un euphémisme comparé à la situation réelle.
Nous avons choisi cette organisation sociale contre-nature, à nous de l'assumer maintenant.
Je préférerais, pour ma part, que les enfants soient au contraire éduqués dans l'art de s'affirmer, de nouer des relations humaines saines et équilibrées, et qu'on leur inculque qu'il vaut mieux admettre que nos histoires d'amour sont passagères, mais qu'elle doivent être commencées ET terminées dans le respect et la dignité, plutôt que de leur faire promettre un amour éternel impossible et devoir mentir lorsqu'ils se rendent compte qu'il n'y arrivent pas.
Pas de promesses = pas de tromperie = pas de cocu
Et bien sûr pour cela il faudrait que la protection des conjoints d'un point de vue matériel soit beaucoup mieux légiférée.
Voilà pour ma contribution, qui manquait sans doute un peu de poésie :cocu: