par Pouet » jeu. 3 août 2017 17:33
J'intéragis surtout sur le titre.
J'ai envie de dire que quand on regarde les témoignages du site, on a bien le cas inverse de l'homme qui en veut au sandwich, et veut tellement pardonner à sa femme pour reconstruire qu'il place toute la culpabilité ( ou 90%) sur le dos du sandwich.
mais il faut être deux pour danser le tango, et ces dames étaient consentantes. Honteuses ensuite parfois mais consentantes.
A revoir les dossiers de celui qui s'est fait vengeance en envoyant des lettres à toute la famille du "sandwich" qui aurait pendant x temps eu des rapports avec la secrétaire entre midi et deux et 5 à 7.
C'est forcément la faute de ce patron quand on le lit.
Il se "venge", que le patron ai eu des rapports avec sa femme.
OK, bon. Mais attend deux minutes. Il y a deux trois trucs qui clochent dans l'histoire.
Madame était consentante.
Et d'autre, qui se font voler leur femme, par leur meilleur pote, et vont se dire : mais c'était un pervers narcissique qui voulait me détruire et il est passé sur ma femme dans le but de sa destruction. (mitsou)
Ou d'autre, dont la femme est amoureuse et suit à distance sur un journal les news du coucou. On se persuade que le sandwich est un être forcément beaucoup + charismatique, narcissique et qu'il a forcément une grande part de perversité et de noirceur vu tout le mal fait, impunément, sans comprendre notre douleur. (Enk)
Grosso modo dans la plupart des histoires, ce sont juste deux adultes, un peu immatures, un peu égoïstes et menteurs.
Parfois se sentant un peu coupables.
Et il ont juste préféré s'adonner à leur plaisir égoïste en oubliant leur moitié à la maison.
Ils nous ont juste oubliés.
Et on veut se rassurer en se faisant un portrait sombre, horrible, et dégoulinant de notre sang que la personne responsable de notre malheur n'est pas la personne qu'on a tant aimée, mais bien "l'autre".
La "troisième personne" comme disait Lady Diana.
Quand je parcours les témoignages, je note que "pardon" et "reconstruction", sont souvent empoyés parles maris cocus qui se lancent dans cette voie. Pas moins que les femmes.
Mais je m'avancerais trop en disant qu'ils ont tendance à pardonner + à leurs femmes, que les femmes à leurs maris infidèles?
Sans-Prétention, Fishbone, Enk, Mitsou, emorej, etc.
Or, quand on voit cette envie de pardonner, et que dans les 3 derniers noms on passe un peu par une phase de "trouduquification" du sandwich (pour fish, le monsieur glace apparaît comme un gros trouduc quand même), et que madame revêt les apparâts de "la pauvre victime", on peut se demander si réellement, " ce sont elles qu'on blâme quand une relation se brise, aussi par les hommes que par les femmes, qu'elles soient dans la partenaire du couple ou la maîtresse".
J'intéragis surtout sur le titre.
J'ai envie de dire que quand on regarde les témoignages du site, on a bien le cas inverse de l'homme qui en veut au sandwich, et veut tellement pardonner à sa femme pour reconstruire qu'il place toute la culpabilité ( ou 90%) sur le dos du sandwich.
mais il faut être deux pour danser le tango, et ces dames étaient consentantes. Honteuses ensuite parfois mais consentantes.
A revoir les dossiers de celui qui s'est fait vengeance en envoyant des lettres à toute la famille du "sandwich" qui aurait pendant x temps eu des rapports avec la secrétaire entre midi et deux et 5 à 7.
C'est forcément la faute de ce patron quand on le lit.
Il se "venge", que le patron ai eu des rapports avec sa femme.
OK, bon. Mais attend deux minutes. Il y a deux trois trucs qui clochent dans l'histoire.
Madame était consentante.
Et d'autre, qui se font voler leur femme, par leur meilleur pote, et vont se dire : mais c'était un pervers narcissique qui voulait me détruire et il est passé sur ma femme dans le but de sa destruction. (mitsou)
Ou d'autre, dont la femme est amoureuse et suit à distance sur un journal les news du coucou. On se persuade que le sandwich est un être forcément beaucoup + charismatique, narcissique et qu'il a forcément une grande part de perversité et de noirceur vu tout le mal fait, impunément, sans comprendre notre douleur. (Enk)
Grosso modo dans la plupart des histoires, ce sont juste deux adultes, un peu immatures, un peu égoïstes et menteurs.
Parfois se sentant un peu coupables.
Et il ont juste préféré s'adonner à leur plaisir égoïste en oubliant leur moitié à la maison.
Ils nous ont juste oubliés.
Et on veut se rassurer en se faisant un portrait sombre, horrible, et dégoulinant de notre sang que la personne responsable de notre malheur n'est pas la personne qu'on a tant aimée, mais bien "l'autre".
La "troisième personne" comme disait Lady Diana.
Quand je parcours les témoignages, je note que "pardon" et "reconstruction", sont souvent empoyés parles maris cocus qui se lancent dans cette voie. Pas moins que les femmes.
Mais je m'avancerais trop en disant qu'ils ont tendance à pardonner + à leurs femmes, que les femmes à leurs maris infidèles?
Sans-Prétention, Fishbone, Enk, Mitsou, emorej, etc.
Or, quand on voit cette envie de pardonner, et que dans les 3 derniers noms on passe un peu par une phase de "trouduquification" du sandwich (pour fish, le monsieur glace apparaît comme un gros trouduc quand même), et que madame revêt les apparâts de "la pauvre victime", on peut se demander si réellement, " ce sont elles qu'on blâme quand une relation se brise, aussi par les hommes que par les femmes, qu'elles soient dans la partenaire du couple ou la maîtresse".