par Eugene » jeu. 2 juin 2016 10:43
Non, il ne s’agit pas d’un sujet de philosophie tombé au baccalauréat, mais d’une très sérieuse question dont GQ a décidé de faire le tour en deux temps trois mouvements.
OUI, un gène a été découvert
Vous aimez l’alcool, les films d’horreur et cédez sans résistance aux jolies filles ? Vous êtes sûrement porteur du gène allèle 334. La poisse si vous ne savez pas mentir. L’étude de Justin Garcia, de la State University of New York, avance en effet que les porteurs de ce gène ont deux fois plus de chance de se livrer à des actes de cocufiage.
NON, c’est lié au QI
L’adultère ? Une vulgaire histoire de matière grise, nous dit Satoshi Kanazawa, psychologue à la London School of Economics, dont les travaux révèlent que les individus forts d’un QI élevé seraient moins enclins à la polygamie mais aussi plus libéraux et foncièrement athées.
NON, c’est une histoire de salaire
Mesdames, votre revenu est supérieur d’au moins 25 % à celui de votre mari ? Cette domination augmente de cinq fois votre probabilité d’être trompées par rapport à la moyenne. Un adultère qui viserait à restaurer l’identité masculine abîmée par cette dépendance, selon la sociologue Christin Munsch.
OUI, c’est le fruit de l’évolution
C’est du moins la conviction du psychologue évolutionniste Robert Wright pour qui l’infidélité ne serait rien d’autre qu’une sorte de lâcher de gènes. Les hommes, biologiquement incapables d’avoir des enfants seuls, compenseraient ainsi leur handicap par une pratique compulsive du coït adultérin afin de propager leur patrimoine génétique.
NON, c’est une histoire de tempérament
Amis fleur bleue, vous qui succombez au coup de foudre dès le premier regard, vous devriez avoir honte. En effet, derrière ce romantisme exacerbé se cache en réalité une âme de dangereux libertin. En interrogeant 5.000 utilisateurs du site de dating Parship, la psy Nafsika Thalassis a découvert que les amoureux transis étaient ainsi 42 % à avoir trompé leur conjointe, soit trois fois plus que les amants flegmatiques. Prudence est donc aussi mère de fidélité.
Source
Non, il ne s’agit pas d’un sujet de philosophie tombé au baccalauréat, mais d’une très sérieuse question dont GQ a décidé de faire le tour en deux temps trois mouvements.
[b]OUI, un gène a été découvert[/b]
Vous aimez l’alcool, les films d’horreur et cédez sans résistance aux jolies filles ? Vous êtes sûrement porteur du gène allèle 334. La poisse si vous ne savez pas mentir. L’étude de Justin Garcia, de la State University of New York, avance en effet que les porteurs de ce gène ont deux fois plus de chance de se livrer à des actes de cocufiage.
[b]NON, c’est lié au QI[/b]
L’adultère ? Une vulgaire histoire de matière grise, nous dit Satoshi Kanazawa, psychologue à la London School of Economics, dont les travaux révèlent que les individus forts d’un QI élevé seraient moins enclins à la polygamie mais aussi plus libéraux et foncièrement athées.
[b]NON, c’est une histoire de salaire[/b]
Mesdames, votre revenu est supérieur d’au moins 25 % à celui de votre mari ? Cette domination augmente de cinq fois votre probabilité d’être trompées par rapport à la moyenne. Un adultère qui viserait à restaurer l’identité masculine abîmée par cette dépendance, selon la sociologue Christin Munsch.
[b]OUI, c’est le fruit de l’évolution[/b]
C’est du moins la conviction du psychologue évolutionniste Robert Wright pour qui l’infidélité ne serait rien d’autre qu’une sorte de lâcher de gènes. Les hommes, biologiquement incapables d’avoir des enfants seuls, compenseraient ainsi leur handicap par une pratique compulsive du coït adultérin afin de propager leur patrimoine génétique.
[b]NON, c’est une histoire de tempérament[/b]
Amis fleur bleue, vous qui succombez au coup de foudre dès le premier regard, vous devriez avoir honte. En effet, derrière ce romantisme exacerbé se cache en réalité une âme de dangereux libertin. En interrogeant 5.000 utilisateurs du site de dating Parship, la psy Nafsika Thalassis a découvert que les amoureux transis étaient ainsi 42 % à avoir trompé leur conjointe, soit trois fois plus que les amants flegmatiques. Prudence est donc aussi mère de fidélité.
[url=http://www.gqmagazine.fr/sexe/sexe-ami/articles/lhomme-est-il-biologiquement-infidele-/42104]Source[/url]