Non, mes toutous sont pas assez "tordus" pour ça. Il n'y a qu'un homme pour marquer son territoire comme ça. J'aurai bien aimé rendre la pareil, mais pas facile pour une femme. Je vous l'assure. J'ai étudié toutes les positions en vain.
La vie d'une cocue après une rupture
Modérateur : Sans Prétention
Re: La vie d'une cocue après une rupture
Et mes chiens ne vont pas sur des sites de rencontres, en cachette quand je suis au travail, et ne pissent pas sur ma bagnole, en cachette, la nuit. Ou, alors, il y en a un qui est monté sur le dos de l'autre pour atteindre ma poignée
Non, mes toutous sont pas assez "tordus" pour ça. Il n'y a qu'un homme pour marquer son territoire comme ça. J'aurai bien aimé rendre la pareil, mais pas facile pour une femme. Je vous l'assure. J'ai étudié toutes les positions en vain.
Non, mes toutous sont pas assez "tordus" pour ça. Il n'y a qu'un homme pour marquer son territoire comme ça. J'aurai bien aimé rendre la pareil, mais pas facile pour une femme. Je vous l'assure. J'ai étudié toutes les positions en vain.
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jaguarboy
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
Je n'y avais pas pensé ! Faut que je bloque l'accès à internet !Lou a écrit :Et mes chiens ne vont pas sur des sites de rencontres, en cachette quand je suis au travail
Les 200 chevaux parqués sous le capot sont bien moins dangereux que l'âne derrière le volant.
Re: La vie d'une cocue après une rupture
Allez, je peux être méchante ? Dites oui, s'il vous plait, j'en ai tellement envie.
HA, je vous ai entendu, alors, je vous raconte, vite fait et après, je sors en soirée.
Mon cocufieur est revenu de ses vacances. Donc, je le recroise au travail. Toute la différence de l'avant ses vacances et son retour, c'est notre "petite" confrontation au Poste de Police.
Monsieur ne joue plus les caïd. Au contraire, tout ce que je demande (au niveau travail) est accompli dans la minute. N'ose même plus me contredire, bien que je vous l'avoue, j'use et j'abuse, à petites doses, certes, mais quand même. Petite vengeance de femme, vous connaissez ! Plus aucune menace de sa part, plus de roulement de gros bras, plus de porte claquée au nez, plus de dossier jetté sur mon bureau.
Il est là, piteux, miteux. A aucun moment, je ne croise son regard. Je suis indiférente à sa présence, qu'il soit là ou pas, je m'en fou royalement. L'indifférence : le mal absolu.
Par contre, quand j'arrive le matin, en voiture, il s'arrange pour aller fumer sa cigarette devant le parking et taper frénétiquement des textos sur son portable, pour que je le vois bien. Je le dépasse sans même lui dire bonjour, puisqu'il a l'air tellement occupé à en faire chier une autre. Tant que ce n'est plus moi, c'est un total bonheur.
Comme vous voyez je respecte quand même l'emmerdeur qui emmerde une autre que moi.
Il a maigri (le pauvre), a une tête de déterré (le pauvre) et aujourd'hui, excusez moi, mais il puait (berk). A mon avis, la douche n'a pas du le voir ces derniers temps.
Il y a du laisser aller dans cet homme......
Mais, je suis tellement bien, moi ! Je me ponponne, je m'habille classe, je me maquille. Normal, je vais bien et encore plus bien depuis la confrontation et que je vis libre, enfin !
Alors, chut. Laissons le vivre sa vie et qu'elle soit bien douloureuse, surtout.
Bonne soirée à vous,
HA, je vous ai entendu, alors, je vous raconte, vite fait et après, je sors en soirée.
Mon cocufieur est revenu de ses vacances. Donc, je le recroise au travail. Toute la différence de l'avant ses vacances et son retour, c'est notre "petite" confrontation au Poste de Police.
Monsieur ne joue plus les caïd. Au contraire, tout ce que je demande (au niveau travail) est accompli dans la minute. N'ose même plus me contredire, bien que je vous l'avoue, j'use et j'abuse, à petites doses, certes, mais quand même. Petite vengeance de femme, vous connaissez ! Plus aucune menace de sa part, plus de roulement de gros bras, plus de porte claquée au nez, plus de dossier jetté sur mon bureau.
Il est là, piteux, miteux. A aucun moment, je ne croise son regard. Je suis indiférente à sa présence, qu'il soit là ou pas, je m'en fou royalement. L'indifférence : le mal absolu.
Par contre, quand j'arrive le matin, en voiture, il s'arrange pour aller fumer sa cigarette devant le parking et taper frénétiquement des textos sur son portable, pour que je le vois bien. Je le dépasse sans même lui dire bonjour, puisqu'il a l'air tellement occupé à en faire chier une autre. Tant que ce n'est plus moi, c'est un total bonheur.
Comme vous voyez je respecte quand même l'emmerdeur qui emmerde une autre que moi.
Il a maigri (le pauvre), a une tête de déterré (le pauvre) et aujourd'hui, excusez moi, mais il puait (berk). A mon avis, la douche n'a pas du le voir ces derniers temps.
Il y a du laisser aller dans cet homme......
Mais, je suis tellement bien, moi ! Je me ponponne, je m'habille classe, je me maquille. Normal, je vais bien et encore plus bien depuis la confrontation et que je vis libre, enfin !
Alors, chut. Laissons le vivre sa vie et qu'elle soit bien douloureuse, surtout.
Bonne soirée à vous,
Re: La vie d'une cocue après une rupture
Cool pour toi, ça fait vraiment plaisir à lire !
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Ricochette
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
Encore une qui s'en est bien sortie, assez rapidement on peut dire, en tranchant dans le vif.
Le rire c'est une poussière de joie qui fait éternuer le coeur.
Re: La vie d'une cocue après une rupture
Merci bumad, Ricochette.
Quand on pose son pied dans une merde, le mieux pour se débarasser de l'odeur, c'est de mettre la paire de chaussure à la poubelle.
Quand on est une cocu(e), le mieux c'est de faire vite pour ne pas souffrir de l'odeur nauséabonde d'une relation pathétique et sans avenir, que de mettre la dite relation à la benne. C'est quand qu'ils passent les poubelles ?
Radical, c'est sur (et pas sans douleur, je vous l'accorde), mais déjà avoir passé tant de temps avoir été la conne de "son histoire", je ne peux me permettre d'être, en plus, la conne de sa vie, à venir (il en serait trop heureux, et bizarrement, je n'ai plus envi de lui donner quoi que ce soit, encore moins une once de satisfaction).
Les cocufieurs se sentent tellement beaux, invincibles, malins, manipulateurs qu'on ne peut pas, en plus, leur donner raison en restant avec eux. Non ? Parceque 4 ans par X filles sur X soirées : pas eu le courage encore de calculer. Moi, la Lou, la calculatrice. Mais, je vous dirais un jour. Ca va être chaud !
iI a choisit sa vie et, bien, maintenant, je vis la mienne (et, en plus, sans culpabilisation).
Vous savez quoi ? Je suis tellement bien, dans ma vie actuelle que je me demande s'il ne m'a pas rendu service, ce con !
Lui, avant, si sur de lui, si prit dans ses petis mensonges ou il croyait être le maître du jeu de notre pauvre couple, si certain de sa puissance sur mon coeur, dans la certitude que rien ni personne ne pourra l'arreter (puisqu'il cachait et verrouillait tout), et bien, je le laisse à ses rencontres d'un soir, ses rv en cachette (moins existant tout de suite !!!! puisque je ne suis plus dans sa vie), Je le laisse à sa vie de cloporte qui se débat dans un vide sidéral.
Le principal, ce n'est pas sa vie. Mais, la mienne. Alors, merci à mon grand con.
Un jour, je vous dirais comment j'ai trouvé les n° de tél et le noms de toutes ces filles . Comment je me suis dépassée pour ça, moi, si respectueuse de l'individu. Mais, je ne regrette pas. Je suis allée au delà de la conception de la vie pour avoir, enfin, la vérité que je connaissais au fond de mon coeur (et de mes rêves). Lui même, ne s'attendait pas à ça, de moi. Et, bien, il s'est planté sur moi (et, sur lui, par la même occasion), et moi, en attendant, je vis. Merci à lui !
4 ans à être cocue, n'attendez pas de moi de la compassion pour lui, c'est hors de mon vocabulaire, tout simplement.
Comme je dis toujours : tout se paie dans la vie !!!! Et, je n'ai aucune compassion.
Oui, Ricochette, je m'en suis sortie rapidement, mais trop frais pour ne pas avoir un esprit de revanche digne de ce que j'ai vécu. Je le revoie encore venir m'apporter un bouquet de fleurs en me disant des "je t'aime mon amour", alors, que maintenant, je sais qu'il avait passé sa matinée avec une autre femme. A gerber, tout simplemet !!!!
Quand on pose son pied dans une merde, le mieux pour se débarasser de l'odeur, c'est de mettre la paire de chaussure à la poubelle.
Quand on est une cocu(e), le mieux c'est de faire vite pour ne pas souffrir de l'odeur nauséabonde d'une relation pathétique et sans avenir, que de mettre la dite relation à la benne. C'est quand qu'ils passent les poubelles ?
Radical, c'est sur (et pas sans douleur, je vous l'accorde), mais déjà avoir passé tant de temps avoir été la conne de "son histoire", je ne peux me permettre d'être, en plus, la conne de sa vie, à venir (il en serait trop heureux, et bizarrement, je n'ai plus envi de lui donner quoi que ce soit, encore moins une once de satisfaction).
Les cocufieurs se sentent tellement beaux, invincibles, malins, manipulateurs qu'on ne peut pas, en plus, leur donner raison en restant avec eux. Non ? Parceque 4 ans par X filles sur X soirées : pas eu le courage encore de calculer. Moi, la Lou, la calculatrice. Mais, je vous dirais un jour. Ca va être chaud !
iI a choisit sa vie et, bien, maintenant, je vis la mienne (et, en plus, sans culpabilisation).
Vous savez quoi ? Je suis tellement bien, dans ma vie actuelle que je me demande s'il ne m'a pas rendu service, ce con !
Lui, avant, si sur de lui, si prit dans ses petis mensonges ou il croyait être le maître du jeu de notre pauvre couple, si certain de sa puissance sur mon coeur, dans la certitude que rien ni personne ne pourra l'arreter (puisqu'il cachait et verrouillait tout), et bien, je le laisse à ses rencontres d'un soir, ses rv en cachette (moins existant tout de suite !!!! puisque je ne suis plus dans sa vie), Je le laisse à sa vie de cloporte qui se débat dans un vide sidéral.
Le principal, ce n'est pas sa vie. Mais, la mienne. Alors, merci à mon grand con.
Un jour, je vous dirais comment j'ai trouvé les n° de tél et le noms de toutes ces filles . Comment je me suis dépassée pour ça, moi, si respectueuse de l'individu. Mais, je ne regrette pas. Je suis allée au delà de la conception de la vie pour avoir, enfin, la vérité que je connaissais au fond de mon coeur (et de mes rêves). Lui même, ne s'attendait pas à ça, de moi. Et, bien, il s'est planté sur moi (et, sur lui, par la même occasion), et moi, en attendant, je vis. Merci à lui !
4 ans à être cocue, n'attendez pas de moi de la compassion pour lui, c'est hors de mon vocabulaire, tout simplement.
Comme je dis toujours : tout se paie dans la vie !!!! Et, je n'ai aucune compassion.
Oui, Ricochette, je m'en suis sortie rapidement, mais trop frais pour ne pas avoir un esprit de revanche digne de ce que j'ai vécu. Je le revoie encore venir m'apporter un bouquet de fleurs en me disant des "je t'aime mon amour", alors, que maintenant, je sais qu'il avait passé sa matinée avec une autre femme. A gerber, tout simplemet !!!!
Re: La vie d'une cocue après une rupture
Gros coup de blues, aujourd'hui. J'ai tenu la tête haute, mais je sais pas pourquoi, au fond de moi, je ne vais pas bien. Angoisses, peines, pensées noires....
Pour faire face, ce jour, il a fallut que je me batte contre moi-même.
Je m'en sortirais mieux si je ne le voyais pas au travail, c'est sur. Mais, il est là, sous mes yeux. Quelle merde !
Il faut que je m'occupe l'esprit. Ne plus penser à tout ce que j'ai pu lui donner et à tout ce que j'ai pu espérer en lui. En un mot, faire le deuil. Car, l'Homme est ainsi fait, qu'il oubli, qu'il minimise tout. Dans ma voiture, ce soir, j'étais tellement mal, que je me suis dit qu'il fallait que je mette des feuilles A4, avec tout ce qu'il m'avait fait, et les stcocher aux murs de mon salon, pour ne pas oublier. Ecrire le nom de toutes ces filles. De tout ses mesonges.
Du coup, je me suis arretée à un agence de voyage pour partir au Maroc avec ma fille et mon petit fils, fin octobre. Il me faut des projets pour continuer, Pour, peut-être, arréter ma souffrance. Une fuite en avant ?
Pour me faire mal et ne pas oublier, je suis allée voir ses derniers mails de manipulteurs de cocufieur, ces mails de menteurs.... J'ai essayé de me recentrer sur ma décision de rompre définitivement.
Mais, conbien de temps ça dure cette putain de douleur ?
Il a pris de l'avance sur moi. Il se faisait déjà une autre vie, pendant qu'il était avec moi (et que je le regardais avec des yeux d'amour). Il a un carnet d'adresses et de n° de tél bien rempli. C'est facile pour lui. Mais, moi ?
Que dois-je faire ? Comment puis-je faire ? Retourner avec lui, il en est hors de question, mais pourquoi cette peine au fond de moi ? Je me noie dans une suractivité. Je rencontre des hommes, certes, mais ne veut pas "prendre" n'importe qui (et pourtant, je le pourrais, mais ce ne serai "honnête" pas de ma part - suis-je qu'une conne ?). Donc, je suis seule.
Je me bats. J'organise mes soirées à venir. Mais, il y a une douleur au fond de moi. C'est carrément dingue.
Aidez moi !
Lou qui en est à - 12 kg en 2 mois en 1/2 mais qui ne lachera rien.
Je hais les cocufieur qui minimisent ce qu'ils ont faient sans se rendre compte la souffrance qu'ils infligent aux autres.
Jamais je n'avais vécu un cocufiage et, je me rends compte, maintenant, à quel point ça peut être destructeur.
Mais, je me connais, quitte à en crever, je ne lui donnerai pas raison. J'irai jusqu'au bout.
Juste une question : Combien de temps ça dure ce putain de mal de vivre ?
Pour faire face, ce jour, il a fallut que je me batte contre moi-même.
Je m'en sortirais mieux si je ne le voyais pas au travail, c'est sur. Mais, il est là, sous mes yeux. Quelle merde !
Il faut que je m'occupe l'esprit. Ne plus penser à tout ce que j'ai pu lui donner et à tout ce que j'ai pu espérer en lui. En un mot, faire le deuil. Car, l'Homme est ainsi fait, qu'il oubli, qu'il minimise tout. Dans ma voiture, ce soir, j'étais tellement mal, que je me suis dit qu'il fallait que je mette des feuilles A4, avec tout ce qu'il m'avait fait, et les stcocher aux murs de mon salon, pour ne pas oublier. Ecrire le nom de toutes ces filles. De tout ses mesonges.
Du coup, je me suis arretée à un agence de voyage pour partir au Maroc avec ma fille et mon petit fils, fin octobre. Il me faut des projets pour continuer, Pour, peut-être, arréter ma souffrance. Une fuite en avant ?
Pour me faire mal et ne pas oublier, je suis allée voir ses derniers mails de manipulteurs de cocufieur, ces mails de menteurs.... J'ai essayé de me recentrer sur ma décision de rompre définitivement.
Mais, conbien de temps ça dure cette putain de douleur ?
Il a pris de l'avance sur moi. Il se faisait déjà une autre vie, pendant qu'il était avec moi (et que je le regardais avec des yeux d'amour). Il a un carnet d'adresses et de n° de tél bien rempli. C'est facile pour lui. Mais, moi ?
Que dois-je faire ? Comment puis-je faire ? Retourner avec lui, il en est hors de question, mais pourquoi cette peine au fond de moi ? Je me noie dans une suractivité. Je rencontre des hommes, certes, mais ne veut pas "prendre" n'importe qui (et pourtant, je le pourrais, mais ce ne serai "honnête" pas de ma part - suis-je qu'une conne ?). Donc, je suis seule.
Je me bats. J'organise mes soirées à venir. Mais, il y a une douleur au fond de moi. C'est carrément dingue.
Aidez moi !
Lou qui en est à - 12 kg en 2 mois en 1/2 mais qui ne lachera rien.
Je hais les cocufieur qui minimisent ce qu'ils ont faient sans se rendre compte la souffrance qu'ils infligent aux autres.
Jamais je n'avais vécu un cocufiage et, je me rends compte, maintenant, à quel point ça peut être destructeur.
Mais, je me connais, quitte à en crever, je ne lui donnerai pas raison. J'irai jusqu'au bout.
Juste une question : Combien de temps ça dure ce putain de mal de vivre ?
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jaguarboy
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
La durée du mal de vivre est très variable, mais cependant, tu es sur la bonne voix. On ne se sort pas d'un traumatisme tel que l'adultère sur un coup de baguette magique. Il faut du temps au temps.
Ne surtout pas rester entre ses quatre murs, ne pas ressasser, même si l'on ne peut parfois s'en empêcher. Sortir, voir du monde, reprendre des activités que l'on avait laissé de coté pour elle ou lui, pour être plus disponible.
Ce n'est pas une recette qui marche à tous les coups, on ressort de cette épreuve changé à jamais. On est différent, il y a un avant et un après.
Mais l'après, lorsqu'il commence à dérouler, est vraiment sympa.
Courage à toi.
Ne surtout pas rester entre ses quatre murs, ne pas ressasser, même si l'on ne peut parfois s'en empêcher. Sortir, voir du monde, reprendre des activités que l'on avait laissé de coté pour elle ou lui, pour être plus disponible.
Ce n'est pas une recette qui marche à tous les coups, on ressort de cette épreuve changé à jamais. On est différent, il y a un avant et un après.
Mais l'après, lorsqu'il commence à dérouler, est vraiment sympa.
Courage à toi.
Les 200 chevaux parqués sous le capot sont bien moins dangereux que l'âne derrière le volant.
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Ricochette
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
Pas la forme olympique Lou!
Tu t'abrutis pour oublier et pour meubler ton temps de libre. Il te faut retrouver un équilibre sans lui.
Un jour, tu parviendras à restabiliser ta vie. Actuellement, ce sont encore les répliques du tremblement de terre. C'est bien connu, les dernières secousses sont moins fortes, plus espacées, puis disparaissent.
L'humiliation de ses tromperies t'a beaucoup affectée. Votre histoire a duré 4 ans, tu devrais pouvoir t'en remettre, tu seras juste plus prudente dans tes relations futures.
Le souvenir restera mais la souffrance s'atténuera. Tu as eu des moments très durs, mais tu en as eu des chouettes aussi ces derniers temps. Tu vas y parvenir à tourner cette page, tu as une volonté de fer.
Evite juste de relire ses écrits car tu te le remémores. Ne tapisse plus ton intérieur avec ses mots, pensant le haïr davantage. Réveille le moins possible son souvenir au lieu de te le placarder. C'est comme mettre un poster de lui et jouer aux fléchettes dessus. Ca te défoule mais tu l'as encore sous les yeux. Chasse-le plutôt.
Pourquoi "quitte à en crever"? Il ne manquerait plus que ça, que tu lui donnes raison.
Tu as opté pour une sage solution, le dépaysement.
Garde ton cap Lou, le plus dur est derrière toi.
Tu t'abrutis pour oublier et pour meubler ton temps de libre. Il te faut retrouver un équilibre sans lui.
Un jour, tu parviendras à restabiliser ta vie. Actuellement, ce sont encore les répliques du tremblement de terre. C'est bien connu, les dernières secousses sont moins fortes, plus espacées, puis disparaissent.
L'humiliation de ses tromperies t'a beaucoup affectée. Votre histoire a duré 4 ans, tu devrais pouvoir t'en remettre, tu seras juste plus prudente dans tes relations futures.
Le souvenir restera mais la souffrance s'atténuera. Tu as eu des moments très durs, mais tu en as eu des chouettes aussi ces derniers temps. Tu vas y parvenir à tourner cette page, tu as une volonté de fer.
Evite juste de relire ses écrits car tu te le remémores. Ne tapisse plus ton intérieur avec ses mots, pensant le haïr davantage. Réveille le moins possible son souvenir au lieu de te le placarder. C'est comme mettre un poster de lui et jouer aux fléchettes dessus. Ca te défoule mais tu l'as encore sous les yeux. Chasse-le plutôt.
Pourquoi "quitte à en crever"? Il ne manquerait plus que ça, que tu lui donnes raison.
Tu as opté pour une sage solution, le dépaysement.
Garde ton cap Lou, le plus dur est derrière toi.
Le rire c'est une poussière de joie qui fait éternuer le coeur.
Re: La vie d'une cocue après une rupture
Merci à vous,
Tu as raison, Ricochette, je ne vais rien afficher chez moi. Qu'il reste dehors, lui et tout ses mensonges de cocufieur.
Tu as raison aussi, Jaguarboy, l'adultaire est un traumatisme. On perd tout en un instant. Ses objectifs, sa vie, sa sincérité, sa spontanéïté, et surtout sa confiance, sa confiance en soi et vis à vis des autres. On ne regarde plus le monde et les gens pareils.
On doit tout reconstruire et, le plus dur, on doit se reconstruire. Pour me sortir de tout ça, j'ai décidé de sortir et rencontrer du monde, mais le monde est fou :
J'ai rencontré un homme (un frère de mon ex mari que je n'avais pas vu depuis 25 ans) et dès la première rencontre (je me suis dite c'est la famille, je l'ai connu quand il avait 10 ans, ça va, quoi !), il voulait s'installer chez moi, parcequ'il trouvait que j'étais confortablement installée (forcément, il vit chez des copains). Next (comme diraient mes enfants). Et bien que j'ai fait "next", il a tél à ma fille, hier soir pour avoir de mes nouvelles (la faisant chier au passage).
Un samedi matin, je vais au bar/tabac de ma ville, et là, je rencontre un ex-collègue qui habite ma ville. Ou est "machin" (en me parlant de mon cocufieur) et je lui dis "tu nous verras plus ensemble, c'est terminé". Je pars, et je me retrouve avec le dit-mec en train de me suivre jusqu'à chez moi. A l'entrée de mon allée, je m'arrete pour lui demander ce qu'il est en train de faire. Et, paf, sans rien dire, il essaie de m'embrasser. Je lui en est retourné une direct. (re-next)
J'en ai rencontré un autre, et en 1 we, il m'a saoulé avec ses rencontres sur le net. (re-re-next)
Après une soirée, avec des amis, un autre a pris contact avec moi en pensant que j'étais une autre (de la soirée), je lui ai dit que je n'étais pas l'autre, peu lui importait, il m'a demandé mon n° de tél pour me parler. Hors de question, bien entendu. (re-re-re next).
Et le top du top, je déjeunais, depuis 2 ans, avec un retraité de 70 ans (là, je me suis dis que je ne craignais rien, un gentil papy comme ça, un copain quoi !), et voilà, que lundi midi, il essaie de m'embrasser de force, à la sortie de la Brasserie. J'ai halluciné et là, j'ai piqué ma crise, en pleine rue. (re-re-re-re next).
Si, on ne peut même pas avoir confiance en un papy de 70 berges, mais ou va le monde.....
Les hommes sont-ils si désespérés pour prendre n'importe quelle femme ? Ou, comme me dit ma fille, ce sont des animaux tout simplement ?
Moi, je veux sortir pour me faire des copines, c'est tout. Avoir des contacts humains, rien de plus. Je ne veux pas de relations avec un homme tant que je n'irai pas bien par rapport à ce que je viens de vivre. Alors, qu'est ce qu'ils ont tous ? A sauter sur tout ce qu'il bouge.
Comme me disait mon ex "les hommes ce sont que des charognards" (et maintenant, je sais qu'il sait de quoi il parlait puisque c'en était une de première et il savait de quoi il parlait).
Je préfère être seule et libre. Et je finis par aller à des soirées ou il n'y a que des femmes. Et, pourtant, je suis une femme quelconque, de 51 berges.... Je n'ose pas imaginer ce que peuvent vivre les filles pas mal et plus jeunes.
Le monde est fou, je vous le dis ! Et, c'est pas avec tout ça que je vais me reconstruire et ravoir confiance.
Quand je vois l'autre fou taper des textos frénétiquement à une autre, je me dis qu'il ne faut pas être bien pour taper des centaines de textos comme ça. Quand on va bien dans une relation, il n'y a pas besoin de s'envoyer des 60 textos par jour sinon pour faire du bourrage de crâne ou chercher la bagarre.
Vous savez quoi ? plus je connais les hommes et plus j'aime mes chiens.
Tu as raison, Ricochette, je ne vais rien afficher chez moi. Qu'il reste dehors, lui et tout ses mensonges de cocufieur.
Tu as raison aussi, Jaguarboy, l'adultaire est un traumatisme. On perd tout en un instant. Ses objectifs, sa vie, sa sincérité, sa spontanéïté, et surtout sa confiance, sa confiance en soi et vis à vis des autres. On ne regarde plus le monde et les gens pareils.
On doit tout reconstruire et, le plus dur, on doit se reconstruire. Pour me sortir de tout ça, j'ai décidé de sortir et rencontrer du monde, mais le monde est fou :
J'ai rencontré un homme (un frère de mon ex mari que je n'avais pas vu depuis 25 ans) et dès la première rencontre (je me suis dite c'est la famille, je l'ai connu quand il avait 10 ans, ça va, quoi !), il voulait s'installer chez moi, parcequ'il trouvait que j'étais confortablement installée (forcément, il vit chez des copains). Next (comme diraient mes enfants). Et bien que j'ai fait "next", il a tél à ma fille, hier soir pour avoir de mes nouvelles (la faisant chier au passage).
Un samedi matin, je vais au bar/tabac de ma ville, et là, je rencontre un ex-collègue qui habite ma ville. Ou est "machin" (en me parlant de mon cocufieur) et je lui dis "tu nous verras plus ensemble, c'est terminé". Je pars, et je me retrouve avec le dit-mec en train de me suivre jusqu'à chez moi. A l'entrée de mon allée, je m'arrete pour lui demander ce qu'il est en train de faire. Et, paf, sans rien dire, il essaie de m'embrasser. Je lui en est retourné une direct. (re-next)
J'en ai rencontré un autre, et en 1 we, il m'a saoulé avec ses rencontres sur le net. (re-re-next)
Après une soirée, avec des amis, un autre a pris contact avec moi en pensant que j'étais une autre (de la soirée), je lui ai dit que je n'étais pas l'autre, peu lui importait, il m'a demandé mon n° de tél pour me parler. Hors de question, bien entendu. (re-re-re next).
Et le top du top, je déjeunais, depuis 2 ans, avec un retraité de 70 ans (là, je me suis dis que je ne craignais rien, un gentil papy comme ça, un copain quoi !), et voilà, que lundi midi, il essaie de m'embrasser de force, à la sortie de la Brasserie. J'ai halluciné et là, j'ai piqué ma crise, en pleine rue. (re-re-re-re next).
Si, on ne peut même pas avoir confiance en un papy de 70 berges, mais ou va le monde.....
Les hommes sont-ils si désespérés pour prendre n'importe quelle femme ? Ou, comme me dit ma fille, ce sont des animaux tout simplement ?
Moi, je veux sortir pour me faire des copines, c'est tout. Avoir des contacts humains, rien de plus. Je ne veux pas de relations avec un homme tant que je n'irai pas bien par rapport à ce que je viens de vivre. Alors, qu'est ce qu'ils ont tous ? A sauter sur tout ce qu'il bouge.
Comme me disait mon ex "les hommes ce sont que des charognards" (et maintenant, je sais qu'il sait de quoi il parlait puisque c'en était une de première et il savait de quoi il parlait).
Je préfère être seule et libre. Et je finis par aller à des soirées ou il n'y a que des femmes. Et, pourtant, je suis une femme quelconque, de 51 berges.... Je n'ose pas imaginer ce que peuvent vivre les filles pas mal et plus jeunes.
Le monde est fou, je vous le dis ! Et, c'est pas avec tout ça que je vais me reconstruire et ravoir confiance.
Quand je vois l'autre fou taper des textos frénétiquement à une autre, je me dis qu'il ne faut pas être bien pour taper des centaines de textos comme ça. Quand on va bien dans une relation, il n'y a pas besoin de s'envoyer des 60 textos par jour sinon pour faire du bourrage de crâne ou chercher la bagarre.
Vous savez quoi ? plus je connais les hommes et plus j'aime mes chiens.
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Ricochette
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
Parfume-toi au répulsif, ça éloignera les chiens et les hommes!
Le rire c'est une poussière de joie qui fait éternuer le coeur.
Re: La vie d'une cocue après une rupture
Le temps que tu saches qui tu es et ce que tu veux vraiment.Lou a écrit : Juste une question : Combien de temps ça dure ce putain de mal de vivre ?
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jaguarboy
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
Dans un premier temps plus ou moins long, c'est normal : tout le monde dehors ! IL faut du temps au temps. Beaucoup d'hommes se disent qu'une divorcée ne sera pas trop regardante, elle doit avoir faim, surtout que certaines ( et certains ) se vengent en sautant sur tout ce qui bouge aussi.Lou a écrit :Je préfère être seule et libre
Lou, tu ne connais pas mes ados ! 60 textos par jour, c'est une moyenne basse, et ils sont composés d'une orthographe qui ferait bondir un illettré.Lou a écrit :Quand je vois l'autre fou taper des textos frénétiquement à une autre, je me dis qu'il ne faut pas être bien pour taper des centaines de textos comme ça. Quand on va bien dans une relation, il n'y a pas besoin de s'envoyer des 60 textos par jour sinon pour faire du bourrage de crâne ou chercher la bagarre.
Cependant, pour un adulte normalement constitué, c'est beaucoup. D'ailleurs, ce devait être le nombre de texto passé par mon ex en une journée avec le sous préfet d'Offenbach, coups de fil et mails non compris. Ayant mis la main ( et les yeux ) dessus et en dehors du fait que c'était l'un des nombreux amants de mon ex épouse, c'est souvent consternant.Les 200 chevaux parqués sous le capot sont bien moins dangereux que l'âne derrière le volant.
Re: La vie d'une cocue après une rupture
Avant lui je savais qui j'étais et ce que je voulais.
Mais, en apprenant mon cocufiage, je n'ai pas fait que seulement me charger d'une immense peine, mais en parallèle, je me suis décharger de tout ce qui me composait. En 1 instant, je me suis perdue. Héritage pour une cocue, je suppose.
Je reconnais que la seule chose qui m'a permise de m'en "sortir" en surface rapidement, c'est son harcellement, et ma réponse par la colère, et la combativité qui en a découlées.
Finalement, il m'a rendu, quelque part, un grand service. Il se serait tenu tranquille, piteux, ça aurait été beaucoup plus difficile pour moi de ne pas y retomber (jusqu'à la prochaine fois, et encore, encore....). C'était un mal pour un bien.
Je dois attendre, comme vous me dites, le temps va faire son boulot.
Merci à vous, et t'inquiète Ricochette, maintenant quand je sors de chez moi, je mets du répulsif de la tête jusqu'au pieds.
Bon conseil.
Mais, en apprenant mon cocufiage, je n'ai pas fait que seulement me charger d'une immense peine, mais en parallèle, je me suis décharger de tout ce qui me composait. En 1 instant, je me suis perdue. Héritage pour une cocue, je suppose.
Je reconnais que la seule chose qui m'a permise de m'en "sortir" en surface rapidement, c'est son harcellement, et ma réponse par la colère, et la combativité qui en a découlées.
Finalement, il m'a rendu, quelque part, un grand service. Il se serait tenu tranquille, piteux, ça aurait été beaucoup plus difficile pour moi de ne pas y retomber (jusqu'à la prochaine fois, et encore, encore....). C'était un mal pour un bien.
Je dois attendre, comme vous me dites, le temps va faire son boulot.
Merci à vous, et t'inquiète Ricochette, maintenant quand je sors de chez moi, je mets du répulsif de la tête jusqu'au pieds.
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jaguarboy
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
C'est surtout que l'esprit est orienté vers un but précis : survivre. Pas le temps de gamberger ou de s'apitoyer sur soi même.Lou a écrit :Je reconnais que la seule chose qui m'a permise de m'en "sortir" en surface rapidement, c'est son harcellement, et ma réponse par la colère, et la combativité qui en a découlées.
Je comprends très bien ce que tu veux dire !
Les 200 chevaux parqués sous le capot sont bien moins dangereux que l'âne derrière le volant.