Bon, voilà, Mr a été greffé hier matin et il récupère doucement en salle stérile. Je pense avoir mené ma mission (celle que je m'étais fixée) jusqu'au bout et je suis moi-même au bout du rouleau. Triste constat : je ne l'aime plus, mais alors plus du tout. Je n'arrive même pas à me réjouir sincèreme...

Ben vrai, le monde est p'tit.. Maman a quitté le Havre en 50 avec sa mère rhumatisante sous le bras, et a atterri dans le bordelais ou le temps est encore plus humide, ce qui n'a rien arrangé. Elle a surtout quitté le havre pour cause de patronyme n'incitant pas à la sympathie envers elle surtout da...

Bonsoir Alexandrovitch, merci de prendre de mes nouvelles... qui n'ont rien de neuf d'ailleurs. Je suis Normande d'origine (maman du Havre et Papa de Fécamp), j'aime le cidre et la compote, et en ce moment je lis les témoignages des uns, des autres, j'admire le courage de beaucoup, je regrette les m...

Bonjour et merci à toi de prendre de mes nouvelles. Et bien je continue mon chemin à ses côtés. Je sais, mais ça ne change pas grand chose. Avant je m'en doutais et le doute, ça tauraude, ça empêche d'avoir l'esprit tranquille, on culpabilise parce que peut être on suspecte sans raison, on sous-esti...

Pauv'pomme est un pseudo qui me va, je suis acide ou sucrée, je collectionne les pépins et j'ai le coeur en compote. Pauv'pomme c'est bien moi. Pauv' parce que ma vie amoureuse avec lui ne peut pas se projeter, qu'elle se vit au jour le jour, forcément et que tout prend forcément une ampleur plus fo...

Merci encore à tous, mais mon objet premier était de faire partager cette expérience parce qu'elle diffère de celle que j'ai lues et qu'elle peut néanmoins être reconnue par d'autres proches de malades. La maladie est un contexte particulier parce que l'aidant, le proche est souvent piétiné, le mala...

Je vais donc passer mon chemin, oubliez vite ma courte halte chez vous, où il est évident que je ne suis encore pas à ma place, encore pas la bonne personne, mauvaise cocue, pas bonne histoire, pas le droit au chagrin... De quoi je me plains, non mais, pas de culotte sale, pas de paquet de café, pas...

Je dois ajouter que mon défunt mari était le fruit d'un mariage alcoolisé et violent, placé par la DDASS dans un foyer où il a été violé par un éducateur qui pour se disculper lui a fait croire que c'était lui qui était aguichant avec les hommes, aussi bien qu'il affiche du mépris pour les homosexue...

Mon roman était en fait une forme d'essai sur le féminisme, pompeusement titrée 'Bénie, sois tu Marie, entre toutes les femmes, éditions Fus-art, rien d'existant. Je ne le renie pas, mais quand il m'arrive de le relire, il m'explose à la figure tant la souffrance que je vivais déjà était forte est t...

C'est un constat triste et douloureux, j'ai mal à hurler, mais hurler sur qui ou après quoi? La compassion n'est pas un sentiment tiède puisque par définition c'est souffrir avec, je souffre affreusement de sa situation et je l'ai pris à bras-le-corps pour l'arracher à sa lente agonie, au début il n...

Je ne pense pas avoir grand chose de particulier, à ceci près : le défaut ou la qualité, je ne sais, d'être totalement dépourvue d'ambition personnelle au boulot comme dans la vie personnelle. C'est un défaut au regard du commun des mortels, le manque d'ambition est synonyme de manque de volonté. De...

J'écris. Ou du moins j'ai commis un "roman" en 98, avant le suicide de mon mari, schizophrène et alcoolique. Un témoignage aussi pour une voisine Marocaine analphabète. Des nouvelles aussi pour mon blog. Je préfèrerai écrire ma vie en piochant dans le champ lexical du bonheur, mais je ne f...

Merci de m'avoir agréée cocue parmis vous. Je tiens à lui malgré tout ce que je sais : "caractère associal, égoïste, capricieux, colérique, pas un top-model non plus" en plus de menteur et infidèle potentiel car j'ai du me battre pour le sauver à de multiples reprises : contre son premier ...

Bonjour à tous, Des mois que je vous lis et que je me sens bien chez vous, parce que je me sens chez moi, cocue parmis d'autres avec les mêmes questionnements, les mêmes douleurs, et pourtant mon histoire est différente et a même certains aspects comiques. Je vis depuis presque 5 ans avec un menteur...